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La Gestionnaire (19)
Datte: 28/08/2020, Catégories: Trash, Auteur: hugo_g, Source: Xstory
... lui. — Que me proposes –tu ? J’ai peur. Ma décision était prise. Le regard de Monsieur Armand me fouille. Il a compris tant ma frayeur est palpable. Il allume une cigarette et s’installe confortablement. J’attends en me reculant légèrement. L’odeur douce du tabac blond m’enivre toujours. J’accepte de me soumettre, pour le plaisir de se soumettre, mais ce soir, pour ne plus avoir peur des chiens. — C’est à vous de décider... dites-moi et j’exécute vos ordres... — Approche... Je me place face au fauteuil, à portée de ses mains... — Ouvre-toi ! Sans aucune hésitation, j’écarte mes pieds. Ils sont séparés de quarante à cinquante centimètres. Dans le mouvement, les lèvres poisseuses de mouille de mon sexe se séparent dans un bruit de succion. Il tend la main vers moi. Je ferme les yeux. J’attends qu’il prenne la juste récompense de ma libération. Sa main caresse l’intérieur de mes cuisses doucement. Elle joue avec les trous de mes bas, accentuant les déchirures. — Tu n’es pas en tenue très sexy, mais plutôt en tenue de souillon... — Ce sont les chiens qui m’ont mise dans cet état... La main continue sa découverte. Elle remonte le long de ma jambe. Je sursaute, résiste un peu à ces caresses. Je les ai souhaitées mais elles risquent de m’entraîner dans des situations plus glauques. Je cède. Je laisse la main me découvrir, m’investir. Elle franchit la barrière de la dentelle du bas, découvre la peau douce, veloutée. Elle rencontre une touffeur ...
... humide. — Tu es tout excitée ... réponds... — Oui, cette situation m’excite beaucoup. — Ce sont les chiens qui t’ont excité le plus ... non... — Non Monsieur... — Menteuse... — Heu... — Avoue... — ... Oui... c’est vrai, j’ai eu peur mais mon sexe était trempé... — Pourquoi mens-tu sans cesse ? — Je ne sais pas... — Je vais te punir pour cela... tout à l’heure... — Oui... Maître... Je le mérite... Je conserve la position, cuisses largement ouvertes, tête baissée. Il se lève. De sa main tendue, il me montre un anneau scellé au plafond. Il me positionne sous l’anneau. Il saisit la corde attachée au mur et passe le mousqueton à l’anneau de mon collier. Il tend la corde. Je suis pendue en extension, sur la pointe des pieds par mon collier. Il équipe mes chevilles de bracelets et d’une barre de bois qui ouvre largement la fourche de mes jambes. Je ne le regarde pas. Mes yeux fixent le sol entre ses pieds. Pourtant je surveille les moindres mouvements de Monsieur Armand. Ses doigts glissent sous l’une de mes jarretelles. Ils lâchent l’élastique qui claque sur la peau satinée de ma cuisse. Je ne peux retenir un cri : — Aie ! — Tais-toi... Il fouille dans sa poche. Il en sort son couteau. La lame brillante jette des éclats de lumière. Monsieur Armand avance vers moi. La lame froide se pose sur ma cuisse. Elle se promène sur la peau laissant une strie blanche. La pointe me griffe. Elle monte vers ma taille. Elle glisse sous une de mes jarretelles. ...