1. Hortense


    Datte: 28/08/2020, Catégories: fhhh, religion, grosseins, poilu(e)s, entreseins, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo, confession, historique, Humour Auteur: Radagast, Source: Revebebe

    ... votre bain. Vous allez à la paroisse ce tantôt ?
    
    Hortense mit quelques secondes avant de répondre.
    
    — Je vais mieux ; je vais y aller. Et puis il faut bien faire quelques sacrifices pour nos bonnes œuvres, donner de soi.
    
    Les sourcils froncés, la jeune soubrette regardait une étrange tache sur la robe de sa maîtresse.
    
    — Vous savez ce que nous disons entre nous ? Que Monsieur ne mérite pas Madame.
    — Vous êtes gentille, Germaine ; ne le répétez pas.
    
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    Hortense arriva dès l’ouverture des portes de la salle paroissiale. Elle installa les vêtements de son mari – y compris la chemise tachée – destinés à être donnés.
    
    La distribution battait son plein lorsqu’elle vit son inconnu de la veille arriver. Cette fois, il ne venait point seul : un autre homme l’accompagnait.
    
    Le visage de la jeune femme s’empourpra lorsqu’il lui adressa la parole.
    
    — Pardon de vous déranger, M’dame, mais mon ami Lucien serait ben aise de voir vos vêtements ; il s’rait comme qui dirait intéressé par tout ce que j’y ai raconté, tout ce que vous pouvez nous donner.
    — C’est que… Je ne sais…
    
    Elle bafouillait et rougissait de plus belle ; elle s’emberlificotait dans ses explications lorsqu’elle vit la Beaugy rire d’elle avec ses amies en mimant des cornes. Hortense s’enfuit vers la cabine d’essayage, suivie par les deux hommes.
    
    Comme la veille, elle se retrouva vite en petite tenue. Cette fois aussi le corset et sa chemise furent retirés ; ne lui restaient ...
    ... que ses bas et bottines.
    
    Le nouveau s’exclama :
    
    — Tudieu, la belle église ! Merci, mon René.
    — Je ne t’avais pas menti.
    
    Hortense connaissait enfin le nom de cet inconnu : René.
    
    — Je te l’avais bien dit que c’était une jolie bourgeoise de la haute.
    
    Tout en parlant, il enfonçait deux doigts aux ongles en deuil dans le vagin de la jeune femme ; l’autre lui caressait les seins et en pressait les tétons.
    
    — Vous avez de forts jolis polochons, bien moelleux.
    
    Elle ne sut que répondre à ce compliment.
    
    — Voulez-vous goûter au bon jus à Lulu ? Rechignez pas sur la marchandise : sur les conseils de René, je me suis lavé le brise-roche et les pieds.
    
    Le dénommé Lulu lui présentait son sexe devant la bouche. Ce devait être le fameux brise-roche. Ne sachant pas trop bien ce qu’il voulait, elle ouvrit les lèvres. Il y engouffra son membre. Elle n’avait jamais entendu parler d’une telle pratique ; il allait et venait dans sa bouche comme dans un sexe.
    
    — Je vais lui briquer la moule…
    
    René venait de plonger le nez dans sa toison et d’y dénicher les zones si sensibles qu’il avait découvertes hier. Elle imaginait qu’un brasier venait de naître dans ses entrailles.
    
    Elle se retrouva ensuite agenouillée, Lulu derrière elle qui la labourait avec de grands « Han ! » de bûcheron, accroché à ses hanches. Ses seins ballottaient et s’agitaient sous elle. Elle pratiquait pour la première fois cette position qu’on lui avait déclarée dégradante, car animale.
    
    — Quel cul ...
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