1. Hortense


    Datte: 28/08/2020, Catégories: fhhh, religion, grosseins, poilu(e)s, entreseins, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo, confession, historique, Humour Auteur: Radagast, Source: Revebebe

    ... son mari n’avait point eu cet honneur.
    
    Il la besognait avec force. Sa lourde poitrine remuait en rythme sous les coups de boutoir qu’il lui assénait.
    
    Elle l’avait entendu s’extasier devant son corps presque nu et parler de choses qu’elle ne comprenait pas en des termes qu’elle ignorait : « Foutre de nom, le beau tablier de sapeur ! Je vais avoir le visage bien au chaud là-dedans. » Puis il avait fourré son nez dans sa toison. Elle en avait déduit que c’était ça, le tablier de sapeur. Il l’avait léchée, lapée, lui provoquant des sensations inédites. La tête lui tournait, comme lorsqu’elle buvait un peu trop de Cointreau.
    
    Il s’était enfin relevé. Elle voyait un homme entièrement nu pour la première fois.
    
    En effet, lors des rapports avec son mari, ils gardaient tous deux leurs chemises de nuit judicieusement percées à certains endroits. Là, elle voyait le sexe masculin tendu, gros espadon menaçant dardé vers son intimité.
    
    Avant qu’elle ne puisse réagir, il la pénétrait sans prévenir. Hortense sentit le membre lui trouer le ventre. Henri, si fier de ses organes, faisait pâle figure comparé à cet inconnu ; les yeux de la jeune femme s’écarquillaient sous l’impétueux assaut.
    
    Au fur et à mesure, elle sentait venir d’étranges picotements dans le bas-ventre, une étrange chaleur gagner jusque ses seins. Qui plus est, cette étreinte durait, durait – elle en avait perdu la notion du temps – alors qu’avec Henri, une ou deux minutes dans les bons jours ...
    ... suffisaient.
    
    L’homme poussa un grognement et elle le sentit se gonfler encore plus en son sein. Lorsqu’il se retira, elle réalisa qu’il venait de s’épancher dans son intimité. Il essuya son membre avec une vieille chemise d’Henri.
    
    Elle gisait encore avachie sur le tas de vêtements alors qu’il finissait de se rhabiller. Il essuya le liquide qui coulait d’entre ses entrailles avec la chemise de son mari ; le geste tendre et délicat la surprit.
    
    — Vous revenez demain pour la suite des journées du curé ?
    
    Elle ne sut que répondre. Il était déjà parti lorsqu’elle se leva et tenta de remettre ses vêtements dans un ordre décent. Sans l’aide de Germaine, elle n’y parvint point. Glissant la culotte dans son sac, ces satanés rubans se liguaient contre elle et ses doigts tremblants. De se savoir nue sous ses jupons et sa crinoline la perturbait quelque peu. Elle releva son chignon tant bien que mal, sortit sans se faire remarquer du curé et de ses grenouilles de bénitier, grenouilles vénéneuses comme il se doit. Elle appela un fiacre et rentra chez elle.
    
    Elle prétexta la fatigue pour échapper une nouvelle fois à la sempiternelle soirée de broderie.
    
    Le samedi matin elle se réveilla courbaturée. Elle réussit à donner le change à son mari, pas à sa bonne qui s’étonna de ne point trouver certains vêtements.
    
    — J’ai fait un léger malaise, hier ; rien de grave. Madame Leduc, la femme du chirurgien, me porta secours et dénoua quelque peu mon giron.
    — Soyez prudente, Madame ; je vous prépare ...
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