1. On est toujours en proie à une surprise – suite


    Datte: 26/08/2020, Catégories: A dormir debout, Auteur: Cedric7899, Source: Hds

    ... Comment étais-je arrivée là ? Je n’eus pas le temps d’y penser d’avantage, le brouillard se dissipait, j’aperçu des hommes à environ cinq mètres de moi, debout, en cercle autour d’un tabouret. Ce qui m’a frappée, c’est qu’ils étaient nus, totalement, musclés, très athlétiques, très moites, tous ; qu’ils étaient six, et qu’ils avaient leur sexe incroyablement bandé dans la main… Ils avaient les yeux et le regard très noirs, ils me regardaient fixement, cinq d’entre eux affichaient un sourire plutôt narquois, le cinquième, qui avait les cheveux longs, blonds et bouclés, baissait la tête, presque comme s’il était, soumis aux autres …
    
    Mes yeux allaient de leurs visages à leurs sexes ; ceux-ci étaient gros, longs, poilus, pourvus d’une grosse paire de couilles pendante chacun, ils étaient luisants, comme huilés. J’étais excitée, très excitée, même… Je ne pus m’empêcher de commencer à me caresser, me laissant aller à des pensées perverses… Puis, je regardai le tabouret au centre de leur cercle ; je n’y avais pas prêté attention, mais je remarquai qu’il y avait une assiette cartonnée posée dessus et, dans l’assiette, une tranche de pain…
    
    Réfléchissant quant à la présence de tout ça au beau milieu d’un vestiaire homme, je fus surprise par la voix d’un des hommes : – Excellente idée de l’avoir amenée, elle est vraiment super bonne… Elle a l’air excitée… Je sens qu’on va s’amuser, cette fois, le jeu en vaut la chandelle…
    
    C’était une fois grave, caverneuse, assez effrayante ...
    ... parce que, elle avait quelque chose de pas humain… J’étais tétanisée…
    
    Quelques secondes à peine plus tard, un des gars à droite, toujours en me fixant, commença à trembler de tout son long, se rapprocha du tabouret et, dans un cri rauque, long et grave, hurla comme un animal, pencha sa tête en arrière, et dans une prodigieuse éjaculation, déversa un impressionnant volume de foutre sur la tranche de pain… J’étais fascinée par ce que je voyais… Puis, il a disparu dans la brume. Soudain, un autre, même scénario, même quantité de sperme, même endroit, puis un autre encore… Plus que trois autour du tabouret, dont « le soumis », qui avait toujours le regard bas. Il était debout, face à moi et bien que je n’avais toujours pas vu son visage, il avait comme un air, disons… Familier… Tous trois s’activaient à se branler comme des forcenés, dans cette scène bizarre, étrangement érotique, qui semblait être un concours…
    
    Là, un des autres a lâché sa semence épaisse, à nouveau sur le pain (plus que deux), puis, enfin, dans un râle victorieux et puissant, cuisses gonflées et dégoulinant de sueur, un cinquième vida ses couilles énormes, pile sur la tranche de pain, riant aux éclats pour disparaître à son tour dans la brume. Toujours à genoux, le sexe dégoulinant, je pus m’apercevoir de l’importante quantité de foutre sur le pain, c’était très impressionnant… Une voix grave, sinistre rompit le silence :
    
    - Hé oui, Ced’, tu as perdu… !
    
    « Ced » ? Comment ça, « Ced » ? Le dernier homme ...
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