On est toujours en proie à une surprise – suite - Histoires de Sexe

On est toujours en proie à une surprise – suite

On est toujours en proie à une surprise – suite

Je suis restée quelques minutes, couchée nue sur le canapé à me caresser lentement le sexe, les seins, pensive, à jouer avec le foutre de ce Sylvain qui restait tiède sur mon ventre et ma poitrine.

Comme s’il avait été question d’une friandise, je prenais de ce foutre entre mes doigts pour le porter à mes lèvres, juste pour que le goût me reste en bouche. Même si cette petite séance avait été très intense et fort agréable, elle avait été assez courte, ce qui m’avait laissée sur ma faim. Je me suis décidée à me lever au bout de quelques minutes, j’empoignai quelques mouchoirs pour ne pas répandre partout de cette semence puis, affamée encore, je pris dans mon sac à main le « jouet » que m’avait prêté Alex’, une reproduction d’un sexe masculin, longue de 20 centimètres, légèrement courbée et veinée, au bout de laquelle se trouvait une magnifique paire de couilles en caoutchouc (veinées également), une ventouse pour le fixer à une paroi, et à l’autre extrémité, un gland de belle dimension. Mon homme de substitution à la main, je me dirigeai vers la douche, bien décidée à calmer mon ventre encore en feu.

L’eau bien chaude, le savon parfumé, j’étais très excitée et, tout en me caressant le clitoris, je suçais cette queue de caoutchouc noir comme une salope et je mouillais comme une folle !

Cette pipe, bite fixée à la paroi de la douche m’excitait énormément, d’autant que j’avais mes deux mains libres et donc, je pouvais ...

... librement me caresser le sexe et me mettre un doigt dans l’anus ; je jouissais intensément et je ne pus m’empêcher de penser que s’il avait été question d’un vrai mec, j’aurais déjà reçu une bonne dose de sperme dans la bouche… Je fis descendre cette queue à hauteur de mon cul, me retournai et le fis pénétrer mon sexe, lentement. Bien emmanché en moi à présent, je me suis laissée aller à plusieurs allers et retours, faisant claquer mon cul contre la paroi, dans la moiteur de la salle de bain où régnait une atmosphère très sexuelle, chargée de senteurs parfumées, d’une épaisse vapeur d’eau chaude, où les crépitements de l’eau de la douche se mêlaient à mes gémissements et aux sons caractéristiques de chair qui claque à intervalles réguliers.

La chaleur ambiante me faisait tourner la tête et bientôt, j’atteignis l’orgasme tant attendu ; les jambes chancelantes, mon sexe dégoulinant, je mis quelques minutes à reprendre mes esprits. J’étais assez confuse, je venais de me faire sauter par ce gars, plus tôt dans la soirée, toujours avec la terrible envie de punir Cédric, mais en même temps, sous la douche, mes pensées perverses allaient pour mon amour, je pensais à son corps athlétique, son torse, ses jambes musclées et ses fesses rebondies. Oui, confuse, je l’étais, mais paradoxalement, je n’éprouvais aucun remords, repensant à cette soirée qui m’avait révélée très, hum… Chienne, salope. J’en éprouvais beaucoup de plaisir, mais je lui en voulais toujours énormément, surtout de ...