On est toujours en proie à une surprise – suite - Histoires de Sexe

On est toujours en proie à une surprise – suite

... leva la tête, la bouche tremblante, les larmes montant dans des grands yeux bleus, plus de doute, c’était Cédric !

- Tu connais le deal, non ? Soit tu manges, soit tu prends, mais dans tous les cas, ELLE, assiste au spectacle. Alors ?

Pas un mot, il se tut et baissa la tête, semblant réfléchir à une solution, qui de toute évidence, n’allait pas arriver. Je réfléchissais au sens de cette phrase : tu manges… Mais quoi… ? Pas cette tranche de pain, quand même ? Oh, Cédric, tu vas devoir manger ça ? Avaler tout ce foutre… ? Soit tu prends… Si je comprenais bien, il risquait de subir les queues de ces types, qui apparemment, semblaient le connaître ? Ils prenaient beaucoup de plaisir à l’humilier, en tout cas… Et je dois dire, qu’avec les vibrations dans mon bas-ventre, j’étais excitée, très, très excitée de le voir dans cette situation…

Qu’allait-il se passer… ?

Après un moment qui me parut une éternité, tant l’atmosphère étaient chargée et intense, un des types m’approcha par derrière et, debout, se pencha au-dessus de moi et commença à caresser mes seins. Je ne réagissais pas, j’ai commencé à respirer de plus en plus vite, sentant la chaleur monter en moi. Il sentait fort le musc, un parfum très fort et enivrant.

- Ced’, tu ne pourras pas échapper à ton sort, tu as voulu joueur, tu as perdu. Vas-y ! Mange !

Il lâcha un timide « s’il vous plaît… », mais avec une voix qui n’était pas la sienne, elle était légèrement plus grave, plus lourde.

- ELLE est là, ...

... Ced’. Tu imagines ce qu’à cinq, on pourrait faire ? Avec elle ? Avec… Toi ?

Là, Cédric a respiré un grand coup, tout tremblant, et finalement, il s’est approché de l’assiette, tendant les mains pour la saisir.

- Non ! Sans les mains ! Mets-toi à genoux ! Mets tes mains dans le dos.

Et Cédric s’exécuta, tremblant comme une feuille. Il a approché sa bouche de la tranche de pain et a commencé par lécher et aspirer le liquide poisseux et épais, en n’en mettant partout autour de sa bouche… Je commençais à mouiller fortement…

Les cinq autres mecs avaient repris leur queue en main et, fixant Cédric occupé à manger tout ce sperme, ils commencèrent à se masturber. Je me tournai la tête pour voir de plus près la queue de celui derrière moi ; il la tenait à la base, laissant voir un gland énorme et une imposante paire de couilles ; sa queue était toute veinée, j’en salivais… Eux aussi, d’ailleurs, de la bave leur coulait de la bouche, tandis qu’ils affichaient un rictus, regardant Cédric manger sa tartine au sperme, les larmes aux yeux… Il me fixait, avec un air de détresse, de pitié dans les yeux. Humilié comme jamais, il semblait implorer que j’intervienne, mais étrangement, je n’en avais aucune envie ; j’avais du plaisir et je ressentais de l’excitation à le voir humilié de la sorte…

Il mâchait péniblement cette tranche de pain, ramollie par l’énorme quantité de sperme, en me fixant dans les yeux, les levant parfois pour regarder les queues de ces cinq mecs qui se ...