1. Le manoir du péché (4)


    Datte: 24/08/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... Elle s’est tordue, en donnant des petits coups de reins au rythme de ma langue.
    
    L’odeur âcre avait disparu. Laissant place à une saveur légèrement salée, délicieuse. Très vite, sous ma caresse buccale, je l’ai senti venir. Elle s’est crispée avant d’être prise de spasmes orgasmiques. Il s’en est écoulé un jet de liquide chaud. Légèrement salé. Plus onctueux que précédemment. Elle a jouit sur ma langue.
    
    Pas le temps de la laisser respirer, que déjà je la fis se mettre à quatre pattes sur le tapis. Me plaçant à hauteur de son anus. Un léger filet de liquide blanchâtre, dernière trace de son orgasme, coula entre ses fesses, douces et luisantes de sueur. Je n’ai pu me retenir d’envoyer mon nez à la découverte des parfums de ce dernier.
    
    - Mais c’est sale, Alain. Me fit-elle, alors que j’étais en train d’humer bruyamment son derrière. Toujours au comble de l’excitation, je n’ai pas pu résister à la tentation de lui embrasser frénétiquement les fesses, avant de titiller son anus de ma langue.
    
    Léchage après léchage, son muscle anal s’est complètement relâché. J’ai pu introduire ma langue sans peine. Et pour ma plus grande satisfaction, elle semblait aimer cela. Au point de jouer avec. Le contractant et relâchant successivement son muscle anal. ...
    ... Ma langue était donc tour à tour happée par le petit trou, puis expulsée, avant d’être de nouveau avalée. Ce petit jeu a duré de longs moments. Avant que je décide de la remplacer par ma queue.
    
    Quelle sensation étrange, vertigineuse, de voir mon gland s’engloutir dans le cul de ma patronne. Et surtout... Oui surtout, d’avoir sentis la chair céder, s’écarter avec une infâme connivence. J’ai poussais plus fort. Engloutissant d’un coup toute ma queue. Alors qu‘elle grogna comme une bête blessée.
    
    Je me suis retiré, pour mieux la lui remettre. Je l’ai senti trembler d’une affreuse extase. J’ai recommencé de plus en plus vite. Chaque fois que j’ai enfoncé ma queue, elle a poussé une étrange plainte étouffée. J’ai accélérai de plus en plus vite. Une vraie bielle. Mon bas ventre claquant son fessier. Brusquement elle s’est cambrée davantage et a lâché un feulement rauque. J’ai donné encore quelques coups de reins et avec un grognement sourd, je me suis allé à la jouissance tout en maintenant difficilement contre moi ma patronne dont le corps se tordait dans des sursauts spasmodiques.
    
    Nous sommes restés quelques instants allongés sur le sol. Le temps de reprendre notre souffle. Elle a ensuite insisté pour que je partage son dîner. Ce que j’ai accepté… 
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