1. La jouissance pour feuille de route


    Datte: 23/08/2020, Catégories: fh, 2couples, vacances, sauna, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, pénétratio, fsodo, échange, yeuxbandés, confession, entrecoup, Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe

    ... peine le temps d’entrevoir la queue de mon mari, qu’elle vient s’asseoir dessus. Voici Marie cavalière et chevillée à sa monture. Une cavalière qui se tortille. Qui ondule.
    
    Je ne vois plus qu’elle. Ses hanches, ses cuisses, ses seins qu’elle caresse et une main qui disparaît plus bas et qui va certainement caresser son bouton. Paul s’est allongé. Il est le jouet sur lequel la femme se baise. Mais un jouet bien vivant. Un jouet dont les coups de reins apportent leur contribution.
    
    Longuement le couple baise. Le mari regarde. JE regarde. J’ai honte, mais je n’arrive pas à partir. Pourtant si je ne suis pas en pleine lumière, je dois être visible, bien que derrière moi les lampes se soient éteintes automatiquement.
    
    C’est beau. Naturel. Combien de fois ai-je chevauché Paul, cherchant ce plaisir tant désiré en jouant de l’angle, de la pénétration.
    
    Ils sont beaux. C’est terrible à dire, mais ils sont encore plus beaux lorsque le plaisir leur est accordé. J’ai mal de voir Marie se figer alors que son orgasme l’envahit. J’ai mal de voir sur le visage de Paul les prémisses qui signalent sa jouissance prochaine. Leurs deux liqueurs vont se rejoindre. Pourquoi suis-je privée de cela ? Pourtant j’ai tout essayé, avant de rencontrer mon mari.
    
    Je vais partir. Satisfaite et frustrée. Satisfaite et même un peu excitée de ce que j’ai vu. Frustrée bien entendu de ne pas pouvoir me mettre à leur diapason. Mais Marie bouge à nouveau. Elle ne penche, chienne à quatre pas, pour aller ...
    ... lécher la bite de mon mari. La salope, vicieuse, recueille le foutre qui a coulé de sa chatte et je ne doute pas sa propre liqueur. C’est chaud. Mais aussi, son mari sort du jacuzzi. Sa queue est tendue, barre horizontale qui ruisselle. En un mouvement il se place derrière sa femme. Paul le suit du regard. Il voit comme moi, Hugo enfiler sa femme d’une geste de propriétaire. Il doit découvrir la grotte humide à souhait.
    
    Marie suce son amant, mon mari, pendant que le sien la baise avec force. Il la bourre, lui faisant sans doute sentir qu’il a apprécié le spectacle qu’elle lui a offert. Je regarde, toujours incapable de quitter cet endroit. Jamais je n’aurais pensé que ce couple fut si libre. À aucun moment ils n’ont fait la moindre allusion à cette liberté. Hugo, s’il me drague gentiment comme un jeu de vacances, ne m’a jamais « manqué de respect » ou avoué leurs goûts.
    
    Hugo me fait face. Heureusement il est concentré sur sa femme. Mais, il suffit qu’il lève les yeux et il pourrait me découvrir. Non, j’aurais trop honte !
    
    Je fuis. Doucement je repousse la porte et c’est seulement lorsqu’elle est refermée que je me déplace assez pour que l’automatisme rallume le vestiaire.
    
    Une heure plus tard, Paul vient prendre de mes nouvelles. J’accepte de me joindre à eux pour le repas. Pas un geste ! Pas une allusion ! C’est comme si rien ne s’était passé, si ce n’est Hugo qui me couve du regard et m’interroge sur mon indisposition. J’essaie de refermer cette parenthèse, mais ...
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