La jouissance pour feuille de route
Datte: 23/08/2020,
Catégories:
fh,
2couples,
vacances,
sauna,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
69,
pénétratio,
fsodo,
échange,
yeuxbandés,
confession,
entrecoup,
Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe
... simulais. C’était un cadeau renouvelé à mon mari, mon amant qui ne devait pas savoir. Mais Paul s’en est aperçu. Il s’est rendu compte que je m’arrangeais pour espacer nos baises. Que souvent je le suçais jusqu’à ce qu’il jute dans ma gorge, évitant ainsi la pénible possession qui ne menait à rien. Que je faisais tout pour accélérer sa jouissance. Mais malgré mes efforts, un soir :
— Tu ne m’aimes plus. Je vois bien que tu fais tout pour éviter nos rencontres au lit. Pire, tu simules. Tu te rends compte, je n’arrive pas à faire jouir ma femme. Je me demande même si un jour je t’ai donné du plaisir.
Quoi de pire pour un homme ! Comment lui expliquer qu’il n’est pas la cause.
Je m’y efforce. Je lui crie mon amour. J’avoue ma faute. Mon monologue dure. Je le rassure. Je lui promets qu’il n’est fautif de rien. Que c’est un amant merveilleux. Que je vais consulter.
Et puis sans réfléchir, je dis :
— Tu sais, je comprendrais si tu avais des aventures ailleurs. J’accepterais que tu ailles avec d’autres femmes si tu me reviens après. Au moins pendant que je me fais soigner.
Je n’avais jamais pensé à cela. Dire que mes paroles ont dépassé ma pensée ? Peut-être, mais finalement c’était une solution. Paul a de gros besoins sexuels et si une autre femme peut en prendre sa part, pourquoi pas ! Il est beau mec et je sais que ce serait facile pour lui.
Il ne dit pas « oui ». Il ne dit pas « non ». Juste :
— Tu te rends compte de ce que tu proposes ?
— Oui.
Il a ...
... fallu un moment, mais dès la première fois, je l’ai su. Paul est rentré à la maison, plus serein, les yeux brillants, me cajolant comme pour se faire pardonner. Et à partir de cette fois, après chaque conquête, paradoxalement, le soir, au lit il venait se lover contre moi. Et infailliblement je sentais sa verge durcir contre mes fesses. Alors qu’il sortait des bras d’une femme à laquelle il avait certainement donné du plaisir plusieurs fois, mon simple contact réveillait son envie. Comment refuser cette marque d’amour !
Ma chemise de nuit n’est pas un obstacle. Il suffit que je soulève légèrement une cuisse pour que son sexe vienne se glisser. Il entre doucement. Il est dur. Étrangement je suis humide. Je sens sa queue avancer en moi, repoussant les parois de mon vagin. Une fois bien entré jusqu’à la garde, il m’enlace à nouveau. Nous ne faisons qu’un. Alors il me baise. Doucement, lentement, son ventre ne quittant mes reins que le temps de se retirer avant de revenir. Et c’est bon. Oui c’est bon. Cela dure, dure et pendant ce moment je ne m’impatiente pas comme d’habitude. Au contraire. Je sens une chaleur m’envahir. Je lui laisse le temps et elle a tout son temps. Paul est d’une résistance que seules des éjaculations répétées procurent. J’ai une pensée pour cette femme, inconnue qui me retourne un mari encore fou d’amour.
Ce n’est pas un orgasme déferlant, mais un plaisir délicat. Un plaisir qui dure. Un plaisir étrange de bien-être, d’amour, de félicité, mais aussi ...