1. La jouissance pour feuille de route


    Datte: 23/08/2020, Catégories: fh, 2couples, vacances, sauna, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, pénétratio, fsodo, échange, yeuxbandés, confession, entrecoup, Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe

    ... majestueux, impossible de savoir s’il est à Paul ou Hugo. Dieu sait pourtant que la bite de Paul n’a aucun secret pour moi. Cette bite que j’ai manipulée, regardée, branlée, sucée, gobée, enfournée dans mon ventre, reste inconnue alors que je suis aveugle.
    
    Mais c’est un délice de m’asseoir sur elle. Elle m’envahit. Elle m’occupe et chaque mouvement la rend plus présente.
    
    Paul ? Est-ce Paul que je chevauche ? Je devrais le savoir. Je devrais le reconnaître. Il y a peu de temps, c’est lui que je chevauchais. Ici. Sur ce même lit. Et je n’arrive pas à…
    
    Deux mains m’emprisonnent la tête et aussitôt je sens sur mes lèvres une tige chaude. Un gland où tout de suite je découvre cette fameuse petite goutte qui perle, signe d’une excitation bienvenue. Mais j’ai à peine le temps de penser à l’inédit de cette situation, une queue dans la chatte, une autre à la porte de ma gorge, que le mandrin fraye son chemin.
    
    Hugo ? Paul ? Peu importe ! Marie doit regarder. Je vais lui montrer que…
    
    Mes mains bien en appui sur les fesses de l’homme, son mari peut-être, je le gobe jusqu’à ce que les couilles viennent buter. Combien de queues ai-je gobées ? Combien d’hommes ont été mes jouets avant qu’ils me possèdent, ne m’apportant que le plaisir de les dominer. Aujourd’hui c’est différent. Je ne suis que plaisir.
    
    Il se baise dans ma gorge. Je ne vois pas, ...
    ... mais je sais que la salive ruisselle de mes lèvres, formant des filets que la bitte tricote, voile éphémère, mais si « sexe ». Comme le bruit qui me paraissait « déplacé » avant, gargouillis infâme, mais aujourd’hui source d’excitation et carburant de ma libido.
    
    Va-t-il jouir dans ma gorge ? Il peut s’il en a envie. Paul sait, lui, que cela ne me dérange pas, même que je le poussais à se libérer ainsi, m’évitant la possession laborieuse.
    
    Mais c’était avant ! Qu’ils crachent ! Qu’ils jutent ! Qu’ils m’inondent ! Tout est maintenant plaisir.
    
    On me caresse. Marie ? Hugo ? Paul ?
    
    J’ondule sur cette tige alors qu’une autre me bloque.
    
    J’ai chaud. Je gronde. Je gémis.
    
    « Ne parle pas la bouche pleine » est une remarque si convenue qu’elle apparaît déplacée en ce moment.
    
    Pourtant ! Oui, pourtant, j’aimerais tant pouvoir dire. Pouvoir expliquer. Pouvoir hurler, crier à la face du monde que je suis bien. Que le plaisir est enfin mon ami, mon complice.
    
    Quand je pense que beaucoup de femmes font la « bégueule » pour la baise. Que d’autres ne savent pas le bonheur qu’elles ont de jouir spontanément.
    
    Moi, j’ai gagné ce droit.
    
    Ma chatte ruisselle et attend le foute de mon amant.
    
    Ma bouche est une « gorge profonde » où un autre va déverser sa liqueur.
    
    Je veux tout. J’accepte tout. Et si mon mari le veut bien, ce ne sera qu’un début… 
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