Duchesse et catin (6)
Datte: 23/08/2020,
Catégories:
Divers,
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
... au-dessus duquel le chien s’était retiré sans doute.
Mais, Job ne l’entendait pas de cette oreille. Il me tira en arrière de façon à ce que je me trouve bien à l’aplomb des traces de foutre. Il en montait une forte odeur. Il me fut impossible de ne pas y mettre, même très peu, les genoux et je fis tout pour préserver les mains.
Mais quand le poids de l’homme fut sur moi, ce fut plus compliqué. D’autant que, comme à l’habitude, le déferlement du plaisir me fit perdre les sens. Et pour finir, il m’obligea à m’écraser à terre comme si je me prosternai, les bras en avant, le postérieur relevé... Il avait visé juste. Mes seins trempèrent dans la jute du chien. Et il me maintint ainsi jusqu’à la fin, ce qui fut assez fatigant.
— Tu la sens ma grosse queue, tu aimes ?
— Ouiiii...
— Alors pense à celle du chien comment il va te limer. T’aimes bien avoir tes gros nichons couverts de foutre.
— Oui ! répondis-je encore sans réfléchir.
En effet, je m’étais habituée à l’odeur, et j’étais tellement soumise que je ne trouvais même plus ça dégoûtant... au contraire, je voulais du sperme, du sperme en abondance et, à ce moment précis, s’il était allé chercher la bête je l’eusse laissé faire.
Ai-je besoin de dire qu’il me fit jouir ? Beaucoup ?
Quand ce fut son tour, il dégagea mes cheveux (je les portais longs) pour me libérer la nuque. Il l’embrassa, puis se retira de mon cul. Il éjacula entre mes omoplates. Il attendit que la semence s’écoule, lentement jusque ...
... dans mon cou.
Je m’allongeai entièrement et il me lécha le cul. Puis il me releva alors que je commençais à m’assoupir.
— Viens, je te reconduis. Tu ne peux pas dormir ici.
Le temps que je me débarbouille un peu, en éprouvant une certaine honte quand j’essuyai mes seins, il sella son cheval. Il me raccompagna et mit les chevaux à l’écurie.
Comme nous allions entrer dans le box du mien, un homme en sortit. C’était Peter, l’un des plus jeunes palefreniers qui, de ce fait, était préposé à la garde de l’écurie quand les plus anciens dormaient. Je me reculai instinctivement.
— C’est vous ce soir Job Hornyman ! Ce n’est pas votre frère.
— Comme tu vois Peter.
— Votre Grâce.
Je ne savais plus où me mettre.
— Vous n’oublierez pas ma petite commission comme quand votre frère ou votre sœur viennent voir le duc. Peut-être avec un petit supplément, compte tenu que je ne savais pas que Madame était de la partie.
— Suis-nous et tais -toi.
Le garçon ne discuta même pas. Hornyman lui banda les yeux du jeune homme.
— Que faites-vous ? dis-je tout bas.
— Il faut lui donner ce qu’il demande...
— Je n’ai pas d’argent pour toi Peter.
— Ce n’est rien. Je verrai avec votre frère ou Monsieur le duc.
— Mais j’ai mieux.
— Faut voir.
— Viens avec nous ! Tu verras quand je t’enlèverai le foulard et tu ne regretteras pas, foi de Job Hornyman.
Il nous conduisit jusqu’au passage secret et nous fit traverser dans les appartements du duc, avant d’arriver ...