Duchesse et catin (6)
Datte: 23/08/2020,
Catégories:
Divers,
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
J’entrai donc à sa suite dans la pièce dont la chaleur me fit aussitôt du bien. Machinalement, j’ôtai mon manteau.
— Tu te déshabilles... c’est bien... continue !
Au ton employé, je ne sus s’il s’agissait d’un ordre ou d’un désir.
Je n’y répondis pas immédiatement.
Je fis le tour de la pièce du regard.
Il avait, me semblait-il, diminué l’éclairage. Un ventail était posé sur la fenêtre. Nul ne pourrait épier de l’extérieur comme je venais de le faire.
La couche était défaite et, au sol, gisait toujours la paillasse sur laquelle la fille venait de s’accoupler au chien. Une tâche de foutre très large, à peine absorbée par l’épaisse toile qui recouvrait cette couchette improvisée, témoignait de la réalité et de la violence de leurs ébats.
J’eus une bouffée de désir en repensant au spectacle des chairs laiteuses de la grosse fille ondulant sous les coups de la bête et au plaisir qu’elle exprimait de tout son corps et de toute sa voix.
Pendant ce temps, Job avait commencé à se déshabiller. Il avait d’ailleurs peu à faire, ne s’étant que rapidement revêtu pour raccompagner la fille.
Il avait juste un gros paletot, sous lequel son torse recouvert de poils perlait encore de sueur.
Il enleva ses croquenots en s’aidant seulement de ses pieds et déboutonna son gros pantalon de velours côtelé d’où émergea aussitôt, tendue à mort et triomphante dans son écrin de pilosité blonde, sa verge magnifique.
— Viens !
Le ton était plus ferme. Il n’y avait ...
... pas à s’y méprendre. C’était un ordre.
— Jack et Megan ne sont pas là ?
— Non... non... A Edimbourgh avec le duc.
Je compris alors que mon mari avait emmené avec lui mes deux amants pour éviter tout risque. Il n’avait cependant pas perçu à quel pont j’étais dépendante du sexe et n’avait donc pas imaginé que je pusse sortir et venir jusqu’ici.
— Je ferais mieux de partir... dis-je déçue et, aussi, vaguement inquiète.
— Non, pourquoi ? Tu vas voir, on va bien s’amuser tous les trois.
Il s’était approché de moi.
— Non pas ça... pas ça... répliquai-je en pensant à l’autre chien qui était évidemment le troisième dont il venait de parler.
Il me colla contre le mur, mit sa main entre mes jambes, sur mon sexe protégé par la culotte d’équitation que j’avais mise.
Collé à moi, sa joue contre la mienne, il murmura.
— Tu vas aimer... elles aiment toutes, tu as vu tout à l’heure comme elle jouissait la garce... D’abord bien sûr, elles ont peur, mais c’est tellement, gros, tellement, long, tellement doux, régulier et plein de foutre... Une fois qu’elles y ont goûté... tu as de la chance, j’ai gardé le meilleur pour la fin, plus gros que l’autre, plus gros que moi, bien plus gros, droit, dur comme du granite.
— Non... non... jamais.
Sa main désormais était sous mon pull et se frayait un chemin sous le chemisier en faisant sauter les boutons un à un. Il me caressait le ventre.
— J’aime ta rondeur, c’est ferme... Nous n’avons jamais sailli une femme ...