1. Duchesse et catin (6)


    Datte: 23/08/2020, Catégories: Divers, Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... Non pas ça ! Jamais !
    
    — Il le faut !
    
    — NON ! C’est affreux, jamais !
    
    — Tu n’as pas le choix. Tranquillise-toi. Toutes se dérobent la première fois je t’ai dit, mais elles y reviennent. Regarde, la grosse Emily, tout à l’heure... Au début, c’est moi qu’elle venait voir, mais je suis sûr qu’aujourd’hui elle vient pour les dogues. Elle a même essayé de convaincre le pasteur d’en acheter un... sans lui dire pourquoi, évidemment.
    
    — Non... non...
    
    — C’est trop tard, il ne fallait pas venir... Tu savais ce qui t’attendait... Tu le savais très bien... je vais le chercher.
    
    — NON, pitié, c’est trop tôt... Non revenez, pas aujourd’hui !
    
    Il s’arrêta, hésita, revint en arrière et se pencha sur moi en me caressant le clitoris.
    
    — Pas aujourd’hui ?
    
    — Non !
    
    — Plus tard alors ?
    
    — S’il vous plaît...
    
    — Plus tard... ou maintenant. Décide.
    
    — Plus tard.
    
    — Tu le promets ? D’habitude, elles y passent dès la première fois... toi, ce ne serait qu’à la troisième... Tu te rends compte de la faveur que je te fais ?... Tu tiendras parole ? Dès que tu reviens ?
    
    Que me coûtait cette promesse ? Pour ne pas la tenir, je n’avais qu’à ne plus revenir, jamais. Je n’avais d’ailleurs pas le choix. C’était cela ou me faire saillir par un chien.
    
    — Je promets !
    
    — Vraiment ?
    
    — Oui !
    
    — Sur l’enfant que tu portes ?
    
    — Je n’ai qu’une parole.
    
    — Alors c’est entendu, je te fais confiance. Dès que tu reviendras.
    
    Là-dessus, il me détacha.
    
    — ...
    ... Suce-moi !
    
    Ici, il n’y avait pas à hésiter. Libérée de mon angoisse, je me jetai sur sa grosse queue, soulagée d’avoir échappé au pire et avide de me rassasier de son sexe.
    
    Sa touffe était humide et sa bite avait un délicieux goût de chatte et de sperme.
    
    J’avais acquis désormais une certaine dextérité et il me laissa la direction des opérations tout en me caressant la tête et gémissant doucettement.
    
    — Tu es bonne... bonne... tes lèvres... ma sœur... pareilles...
    
    Puis il me fit lever et m’embrassa longuement.
    
    Nous étions collés l’un à l’autre sans que mon ventre en souffrît comme je l’avais un peu craint. Il m’embrassait avec fougue, mordillant parfois ma langue, me serrant très fort dans ses bras ou me libérant pour bloquer ma tête entre ses mains. Il m’embrassait partout, sur les joues, le front, les paupières, dans le cou, sur les seins... partout, partout, partout.
    
    Et moi pendant ce temps, je tripotais sa queue, ses boules, ses tétons. D’une main, je découvris l’avers et de l’autre le revers de cet homme magnifique et puissant.
    
    Puis il me retourna pour que je m’appuie contre le mûr, bien solidement sur mes deux bras et me prit debout par-derrière, cherchant d’abord le vagin avant de m’enculer.
    
    Ce fut difficile. Le morceau n’entrait pas. Il forçait, mais c’est tout mon corps qui ployait. Alors il me mit à quatre pattes sur la paillasse.
    
    Elle était encore mouillée. Le chien et la fille s’étaient lâchés. J’essayais d’éviter l’endroit où il y en avait le plus, ...