Duchesse et catin (6)
Datte: 23/08/2020,
Catégories:
Divers,
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
... grosse.
Je remarquai la première personne du pluriel sur laquelle il insista lourdement.
— Arrêtez Jack, arrêtez, je vous prie.
Il aurait fallu employer des paroles et un ton plus vindicatifs et plus convaincants pour le faire stopper. Au contraire, mes faibles protestations ne pouvaient que l’encourager.
Sa paume désormais épousait le galbe de mon sein droit. Il savait y faire.
— Plus gros, plus ferme... quel délice...
Puis, il attrapa violemment mon chignon pour me maintenir fermement la tête et sa langue se mélangea à la mienne avec une sauvagerie communicative. Dans le même moment, sa main redescendait, glissait dans le pantalon et la culotte et trouvait mon sexe. Je gémis en écartant aussitôt mes cuisses.
Il retira sa main, lécha ses doigts.
— Tu mouilles déjà, c’est bon...
Puis il me redoigta.
J’étais maintenant hors de contrôle, mes bras se refermèrent sur lui et je cherchai à passer une jambe derrière ses fesses.
Il quitta alors mon vagin. Me souleva et je pliai cette fois-ci mes deux jambes autour de lui. Je sentais son gros sexe contre mon ventre. Il fit quelques pas et nous nous écroulâmes sur le lit. Il enleva le pantalon, m’aida à quitter mon chandail et mon chemisier, me contempla en instant puis s’allongea sur moi et me pénétra d’un coup ! Il enfonça sa bite à fond et poussa violemment quelques coups avant d’éjaculer abondamment en râlant.
Il s’effondra sur moi et reprit sa respiration.
— Elle m’avait tellement chauffé ...
... la garce... si je n’avais pas entendu ton cheval, je lui aurais rempli la bouche... mais tu es arrivée. Cela valait la peine d’attendre.
Il se retira. Je sentis le sperme s’écouler entre mes jambes. Il se mit à me couvrir de bisous, assez tendrement d’abord, contre toute attente.
Il m’embrassait délicatement dans le cou, sur les seins, suçait les tétons lentement.
Je me laissai aller à la douceur inespérée de ses gestes. Il descendait progressivement.
Quand il fut au niveau de ma chatte, il s’arrêta puis après l’avoir contemplée, il la mangea, enfonça sa langue le plus profondément possible dans mon trou encore plein de son jus.
Mon désir et mon plaisir regrimpèrent en flèche.
Il vint m’embrasser et je me régalai de sa bouche et de sa langue pleines de jus. Puis, avec sa langue, ses lèvres ou ses mains, il s’occupa longtemps de ma vulve.
Il me fit jouir, jouir et jouir encore, rien que par le miracle de ses mains, longuement, savamment, en ménageant les pauses, en étant attentif à mes réactions. Je me laissai aller sans prendre conscience du temps qui filait.
Il profita d’un instant d’abandon, pour m’attacher un bras.
— Que faites-vous ?
— Regarde ! Ma queue est droite ! Je bande à nouveau... On va s’occuper de toi.
Tout en parlant, il continuait de m’immobiliser.
— Mais je peux rester libre.
— Tu vas être docile ?
— Docile pour quoi ? demandai-je craintivement en connaissant la réponse et en ayant peur.
— Pour le chien.
— Non ! ...