1. Roide mouvie


    Datte: 20/08/2020, Catégories: fh, inconnu, poilu(e)s, amour, Oral fsodo, aliments, Humour Auteur: Radagast, Source: Revebebe

    ... ressortait.
    
    — Ils ne sont pas là.
    — Je vous l’avais dit. Vous êtes comme Saint Thomas. Vous êtes allée voir les flics ?
    — Oui, ils n’en ont rien à foutre. Elle est majeure.
    — Vous m’annoncez une nouvelle qui ne m’enchante guère non plus. Je ne tiens pas à ce que mon fils fasse des conneries.
    — Je le savais, hurla-t-elle, il a enlevé ma fille !
    — Ho, du calme, il n’a pas dû trop forcer pour l’entraîner, votre fille chérie, vu sa lettre. Si ça se trouve, c’est elle qui est le chef de meute.
    — Sale individu !
    
    Sur ces fortes paroles elle se jeta de nouveau sur lui toutes griffes dehors ; il lui bloqua les bras. Elle lui flanquait des coups de pied. Elle essayait de lui zlataner ses raisons de vivre. Il crut entendre rugir une panthère.
    
    — Tu veux une autre baffe ?
    
    Essoufflée, elle se calma.
    
    — Si nous nous conduisions en adultes, et tentions de trouver une solution ?
    — La solution, je n’en connais qu’une : je vais partir à leur recherche, et une fois retrouvés leur faire passer l’envie de recommencer.
    — Je vous accompagne.
    
    Le ton étant tellement impératif qu’elle ne tenta pas de répliquer. Il ne tenait pas non plus à ce que cette folle étripe son fils.
    
    Quelques coups de téléphone, un formulaire de demande de congés, et le tour était joué.
    
    Il fit une valise rapidement et la glissa dans la voiture.
    
    Il passa tout de même un coup de fil à ses parents. En retraite, ils coulaient des jours heureux en Corse. Et ils n’avaient pas de nouvelle du ...
    ... Viking.
    
    — En route ! Montez. Votre voiture est bonne pour un passage chez le carrossier, nous prenons la mienne. À vous de me dire où nous allons.
    
    Elle le regardait, et il la voyait pour la première fois hésitante.
    
    — C’est que je ne n’ai pas de valise. Je suis partie sur un coup de tête.
    — Vous venez d’où ?
    — De Paris.
    — Ah ouais, pas la porte à côté. À quelques kilomètres d’ici il y a une grande surface avec une galerie marchande. Nous nous y arrêterons pour vous acheter des bricoles.
    
    Sylvestre traînait un peu derrière elle, et l’air de rien l’observait.
    
    Une petite brune, yeux noisette, petits seins sous un tee-shirt moulant, jolies petites fesses serrées dans un leggins, elle tenait du modèle réduit. Ses ballerines ne la rehaussaient pas non plus. Lui qui était porté sur les grandes blondes aux yeux bleus et à forte poitrine, elle n’entrait pas dans son type de prédilection.
    
    Elle lui jetait des regards en douce. Il la vit même rougir alors qu’elle se choisissait des sous-vêtements. Il ne se sentait pas à l’aise non plus. Un mec seul se baladant dans un rayon de lingerie féminine, ça faisait tout de suite louche.
    
    — Je passerais bien par Montpellier pour vérifier si la voiture de J.T. s’y trouve, mais je suis pratiquement sûr qu’il a pris son tacot. Vous avez une idée de l’endroit où ils pourraient se planquer ? Parce que moi, j’en ai deux… des idées.
    
    Fallait qu’il arrête de faire de l’humour à deux balles, elle risquait de mal le prendre.
    
    — Oui, j’ai un ...
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