1. L'arrivée à Paris


    Datte: 17/08/2020, Catégories: ff, inconnu, grosseins, soubrette, Voyeur / Exhib / Nudisme massage, Oral fdanus, historique, historiqu, Auteur: Ben, Source: Revebebe

    ... qu’il ne fallait rien dire à Madame, ni à ses parents… Caroline avait eu beau jeu de lui dire alors qu’elle l’avait vue de ses propres yeux dans cette partie à quatre, de lui rappeler ses cris de plaisir, les mots cochons qu’elle adressait aux deux autres femmes, les encouragements qu’elle prodiguait à son père pour qu’il la pénètre plus loin, et enfin, ses prières pour qu’il éjacule sur son visage et lui laisse sucer son sperme.
    
    Bérangère fut d’abord confuse face à sa jeune maîtresse qu’elle pensait plus prude, mais elle se rendit vite compte, en l’entendant utiliser un langage aussi cru, de ses penchants naturels pour le vice. N’écoutant que son instinct, elle se retourna, releva ses jupons, et se pencha en avant pour présenter sa croupe à Caroline :
    
    — Pardon, Maîtresse, c’est vrai, j’ai pris plaisir à me faire prendre par votre père, sous les yeux de votre mère. Oui, j’ai crié de plaisir, oui, j’ai prié pour qu’il me prenne plus fort, oui, j’ai aimé le goût de son sperme, et je l’ai fait goûter à mes deux compagnes en les embrassant à pleine bouche… Je mérite une belle punition. Punissez-moi, puisque j’ai péché !
    
    Ce jour-là, Caroline, qui en était au début de son initiation, n’était pas encore prête pour de tels jeux : elle n’avait encore jamais fait l’amour. Elle avait débuté la découverte de son propre corps, et des plaisirs solitaires qu’il pouvait lui procurer, quelques mois auparavant. Elle commençait seulement à soupçonner tout le plaisir que deux êtres ...
    ... peuvent se procurer mutuellement. Là, découvrant les superbes fesses de la soubrette, sa grosse moule gonflée et son petit trou fripé, elle fut envahie par un désir plus simple, plus élémentaire, de toucher ces trésors qui ressemblaient aux siens. Elle s’approcha, posa ses mains sur les fesses, les caressa.
    
    Aujourd’hui, après tout le chemin qu’elle avait déjà parcouru, elle n’aurait pas hésité à fesser la soubrette, à maltraiter son sexe pour assouvir ses désirs masochistes. Mais alors, elle ignorait encore tous les raffinements du sexe. Jamais elle n’avait touché un autre corps, et ce premier pas tout simple suffisait encore à assouvir son désir. Elle se contenta ce jour-là de pétrir les fesses de Bérangère et de passer un doigt sur la fente du sexe, que son excitation avait rendu humide. Puis elle avait congédié la soubrette et s’était masturbée.
    
    Voilà à quoi Caroline pense en pénétrant pour la première fois dans la maison de ses aïeux : c’est la croupe ondulante d’Elodie, qu’on devine sous ses jupons, qui lui a rappelé les rondeurs aguichantes et le vice de Bérangère. Et, bien sûr, déclenché une brève bouffée de désir. Se pourrait-il que les servantes de sa mère aient les mêmes penchants pour le stupre que celles de la maison de Rennes ? Dès cet instant, elle devine en tout cas où se terminera la soirée avec Elodie.
    
    Celle-ci la prend par le bras pour lui faire découvrir le salon et la cuisine. Elles montent ensuite au premier étage pour visiter les chambres. Celle qui ...
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