1. Un zeste de citron


    Datte: 12/08/2020, Catégories: fh, ff, amour, cérébral, revede, amourcach, Inceste / Tabou Auteur: Clubescargot, Source: Revebebe

    ... la bouche. Ses lèvres rebondies s’écartent, laissant entrevoir une belle denture et une petite langue accueillante. Sous le menton je palpe le plancher buccal et la base de sa langue.Soudain je décide de la détendre de l’intérieur en plaquant ma bouche sur la sienne, ma main soutenant sa nuque. Elle ne repousse pas ce contact et laisse ma langue entrer en elle. Nos salives se mêlent. Je suce ses lèvres tout en caressant les commissures du bout de l’index. Je ne veux surtout pas rompre le contact de nos peaux.Elle pose une main entre mes cuisses, là où mon shorty de pyjama commence déjà à suinter. J’aspire maintenant sa langue et je me colle tellement à elle que je respire l’air qui sort de son nez, de sa bouche. Nos fronts ainsi collés l’un à l’autre, nous pourrions échanger nos auras. J’aimerais la goûter, la croquer et l’avaler toute crue. Elle écarte les jambes et les enroule autour de ma taille. J’immisce une main sous sa nuisette et découvre une fleur ouverte perlant de fluide corporel. Mes doigts trouvent le chemin et s’enfoncent en elle. Sa main caresse avec insistance ma vulve à travers mon calbute en traçant des traits larges et profonds.Je n’ai plus qu’une idée en tête : la faire jouir sur leur canapé, en souiller le tissu du même liquide vibrant et chaud qui se répand entre mes cuisses. Je voudrais lui donner autant de plaisir que lui en donne son cher et ...
    ... tendre mari, sentir ce qu’il sent autour de son sexe quand elle gémit, secouée par l’orgasme. Bientôt ses muscles internes enserrent puissamment mes doigts, comme s’ils voulaient les empêcher de se mouvoir. Peine perdue. Je bâillonne sa bouche de ma main libre pour l’aider à retenir ses cris de jouissance : il ne faudrait pas que le petit nous entende. J’insère mes doigts au rythme de ses gémissements dans sa muqueuse buccale, jouant le long des dix-sept muscles de sa langue, flirtant avec son réflexe nauséeux, puis je plaque mes phalanges contre son palais osseux et je prends mon pied à posséder ainsi son corps de part et d’autre. Et pour finir de la baiser tout entière, j’enfouis ma tête dans son décolleté et je mords dans son moelleux mamelon de maman modèle. Elle étouffe un cri.
    
    **********
    
    — Nicolas, je ne rigole pas : maintenant tu vas te coucher.
    
    Cette petite phrase me tira de ma rêverie. Le petit d’homme en pyjama se tenait sur le seuil du salon et ne bougeait pas une oreille.
    
    — Je veux dormir avec toi, maman…
    — Il n’y a qu’une personne qui peut dormir avec moi, et elle s’appelle Samuel. Tu t’appelles Samuel ?
    — Oui, je m’appelle Samuel, dit-il avec un petit sourire.
    — Hum, tu es un peu petit ; c’est bizarre… Samuel, il est beaucoup plus grand !
    
    Je souris.
    
    À bientôt 35 piges je n’avais pas encore fini de lutter contre mon désir incestueux. 
«12...9101112»