1. Un zeste de citron


    Datte: 12/08/2020, Catégories: fh, ff, amour, cérébral, revede, amourcach, Inceste / Tabou Auteur: Clubescargot, Source: Revebebe

    ... ma robe atterrissent sur son tapis et je m’assois jusqu’à m’empaler sur ce sexe tendu. Je ferme les yeux et je m’imagine que c’est le sien. Que c’est lui qui vient buter contre la paroi de mon sexe distendu de désir. Mon bassin roule d’avant en arrière jusqu’à trouver l’angle le plus sensible pour moi.Je m’agrippe à ses genoux comme à des accoudoirs et j’accélère la cadence. Cette fois-ci c’est moi qui mène la danse. J’entends la voix d’Aurélien qui halète. Je voudrais lui coller un oreiller, le bâillonner, le faire taire. Qu’il cesse de me sortir de mon rêve. Quelques pauses pour reprendre mon souffle avant de remuer à nouveau, jusqu’à ce que mon jouet humain n’en puisse plus. Alors je m’allonge sur lui, éreintée. Je suis sûre que si je me caressais je pourrais jouir encore deux ou trois fois mais je n’en ai plus la force.Une fois la dernière vague de contractions partie, j’emmène Aurélien jusqu’à la salle de bain et le libère pour une douche commune. Je le savonne en l’astiquant au sujet de l’expérience que nous venons de vivre, ce à quoi il répond que c’était sympa et qu’il n’aime pas être questionné. Puis il me shampouine et me dit que je suis belle. Décidément, nous sommes assortis comme une paire de bretelles et un âne. Il faut que j’arrête.
    
    **********
    
    Quelques années plus tard…
    
    Sam était parti en déplacement professionnel tout le week-end, il ne rentrerait que le dimanche tard. Maëlle me tendit une tasse de thé au jasmin brûlant et se lova à l’autre ...
    ... bout du canapé. J’avais profité de congés pour passer quelques jours chez eux. Évidemment, j’avais emporté du travail à terminer. Je n’avais aucune envie de taffer et n’y avais évidemment pas touché depuis mon arrivée.
    
    Ça faisait un bail qu’ils étaient ensemble, et j’avais toujours adoré discuter avec Maelle. Elle avait une maturité et une sérénité qui vous faisaient relativiser tous les tracas de la vie et vous sentir plus léger. Et aussi une très jolie nuisette bleue assortie à ses yeux.
    
    Maelle me regardait de ses grands yeux clairs et passait machinalement sa main dans ses longs cheveux blonds. De temps à autre elle tendait l’oreille vers la chambre. Bientôt, nous entendîmes des bruits de petits pas sur le plancher grinçant.
    
    — Nicolas, je t’entends. Retourne te coucher, dit Maelle d’une voix aussi douce que ferme
    — Maman, j’ai soif…
    — Tu as déjà bu un verre d’eau. Allez, au lit, bonhomme : c’est l’heure de dormir.
    — Attends, je fais un bisou à tata.
    — Bon, d’accord. Mais après, dans ta chambre.
    
    Nicolas promit. Je tendis la joue, attendrie. Nous lui avions déjà lu deux histoires chacune. Il tombait de sommeil mais ne voulait pas s’endormir, nous sachant encore éveillées. Maelle souleva mon petit neveu et le porta jusqu’à son lit. J’eus exactement le temps nécessaire pour savourer le thé et observer minutieusement la tasse, façonnée de la main de Maelle. Elle avait opté pour une forme haute et arrondie, dans des teintes pastel, pleine de charmantes petites ...