Un zeste de citron - Histoires de Sexe

Un zeste de citron

... autre chose. Tant pis, je défais mon magnifique ouvrage et reforme un nœud autour du pied de la table. J’incline Aurélien en avant et insère ma jambe entre les siennes pour les lui écarter. Puis je passe sous le pont de ses jambes, comme quand on apprend à nager sous l’eau. Je retire sa ceinture, défais le bouton et la fermeture Éclair de son jean. Je plonge ma main dans l’ouverture et tâte sa bandaison, puis la retire. Il frémit. Je sais qu’il n’aime pas se faire sucer, alors je ne vais pas me fatiguer inutilement.— Ouvre la bouche.J’insère mon index sur sa langue et je glisse vers le fond en appuyant très légèrement. Puis je dérive vers l’intérieur de sa joue et saisis en pince son muscle masséter que j’étire en dosant la force de mon pouce. Même traitement de l’autre côté, pas de jaloux. Il relâche sa mâchoire et je viens tâter son plancher buccal de l’intérieur et de l’extérieur, mes doigts toujours en pince. Les glandes salivaires ne tardent pas à réagir et larguent une salve de salive. Mes doigts déjà bien englués s’enduisent encore plus.— Ne bouge pas.Je file sur le balcon et cueille quelques fraises et tomates cerises dans la jardinière. En le voyant attendre si sagement j’ai presque envie de lui faire un câlin. Mais non, ça ruinerait le climat… Je devrais donc en profiter pour lui coller une bonne fessée sur son joli petit cul. Mais non, je suis une gentille…J’attrape une chaise et m’assieds dessus à l’envers, mes pieds calés de part et d’autre du dossier et je pose ...

... une petite fraise sur sa langue. À mon signal il mâche précautionneusement, puis son visage s’éclaire d’un sourire.— Une fraise ! s’exclame-t-il.C’est malin… Je me sens comme une animatrice de colo réalisant un Kim goût. Je décide de lui baisser son froc, une jambe puis l’autre, et il se retrouve cul nul dans le salon. Voilà qui ressemble davantage à un jeu d’adultes. Je reprends le nourrissage aux fruits rouges d’une main tout en taquinant de l’autre ses cuisses velues, son scrotum et sa verge.Je me dis qu’un peu de froid pourrait le réveiller, mais le temps d’aller démouler des glaçons dans la cuisine, ça casserait carrément l’ambiance. C’est ça, s’improviser dominatrice du dimanche… Je décide alors d’en finir, et dans un endroit plus classique et confortable : le pieu. Alors je détache monsieur de la table et l’entraîne dans le couloir menant vers la partie nuit. Au moment de passer devant la porte de mon coloc préféré de tous les temps, je marque une hésitation.— Mais où tu…— Chut !Trop tard. Une idée folle a germé dans ma tête. De toute façon il n’y voit rien, et puis on a une lessive de draps à faire, non ? Et puis merdum, j’ai aucune excuse. C’est mal, oui, très mal ce que je m’apprête à faire. Tant pis. J’ouvre la porte de sa chambre. Aussitôt son odeur m’emplit les narines. Je me sens excitée comme une puce. Je pousse Aurélien sur son lit. À quatre pattes sur son tapis j’attrape sa boîte de capotes. J’en enfile une sur la queue qui se dresse devant moi.Ma culotte et ...