1. Les intellectuels parisiens


    Datte: 15/04/2018, Catégories: hh, hplusag, jeunes, collection, hsoumis, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral hsodo, sm, Auteur: Eric2, Source: Revebebe

    ... pervers, pour mon plus grand plaisir.
    
    Dans son cabinet, j’eus droit à quelques séances particulières de psychanalyse qui s’écartaient certainement beaucoup de l’orthodoxie freudienne ! Nous étions nus tous les deux, moi allongé sur le divan, et il se délectait à m’orienter vers des confessions de pratiques sexuelles invraisemblables que je devais avouer comme réelles. Il les interprétait comme les pires perversions qui puissent exister. La « thérapie » se terminait toujours par le même remède : une bonne dose de sperme qu’il m’administrait, suivant l’humeur du jour, par-devant ou par-derrière, dans une mise en scène débridée où je pouvais me retrouver habillé en fille ou en enfant de choeur.
    
    Avec mon universitaire, je découvris un nouveau milieu qui ressemblait très peu à celui de mes ouvriers agricoles du sud : au lieu d’hommes standards qui ne couchaient avec des plus jeunes que par manque de femmes, ceux que j’ai fréquentés dans le milieu intellectuel et artistique parisien étaient de vrais homosexuels, d’un genre plutôt cérébral et souvent pervers. Les odeurs et les goûts relevés du Sud étaient souvent remplacés par du parfum, mais la nouveauté et le nombre de ces sexes me plaisaient.
    
    Je découvris bien vite que le très respecté professeur faisait partie d’un réseau qui organisait des partouzes : dans un appartement, il pouvait y avoir jusqu’à une vingtaine d’hommes mûrs et quelques éphèbes, dont moi, tous nus, et je n’avais que ...
    ... l’embarras du choix parmi tous ces sexes à partager.
    
    Ils faisaient parfois des montages dignes du marquis de Sade ou d’un cirque, avec des groupes de corps reliés par des sexes. J’y rencontrais même parfois quelques femmes que ces orgies excitaient. Je me rappelle en particulier l’épouse d’un auteur à la mode qui guidait le sexe de son mari entre mes fesses avant de me présenter sa chatte à lécher pendant que monsieur me prenait ; elle se faisait ensuite baiser dans de grands débordements vocaux.
    
    Ces fréquentations durèrent quelques mois pendant lesquels je « connus » en dessous de la ceinture un certain nombre d’intellectuels et d’artistes de renom de la capitale, tous friands de jeunes éphèbes. Cette foule de bites célèbres me grisa un certain temps, mais finit par me lasser. Ces gens avaient pratiqué le sexe sous tellement de formes qu’il leur était indispensable de se créer régulièrement de nouvelles excitations pour arriver à jouir : c’était assez souvent à la limite de la névrose.
    
    Une première fois, j’eus ainsi les fesses rougies par un vieux peintre à la mode qui ne bandait plus qu’en donnant des fessées, ce qui ne m’excitait pas vraiment. Une autre fois, lors d’une séance dans une salle de bains, un type me pissa dessus. Je commençai à être confronté à des limites sérieuses.
    
    Devant la tournure que prenaient ces séances, je décidai de tout plaquer pour revenir vers le « bas peuple », dont les motivations me semblaient plus saines. 
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