1. Les intellectuels parisiens


    Datte: 15/04/2018, Catégories: hh, hplusag, jeunes, collection, hsoumis, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral hsodo, sm, Auteur: Eric2, Source: Revebebe

    ... pas. Je le suivis dans son bureau : une magnifique bibliothèque en garnissait trois côtés jusqu’au plafond.
    
    Nous avions passé une bonne heure à feuilleter de vieux livres quand il me demanda :
    
    — Aimez-vous aussi les auteurs modernes ?
    
    Je lui répondis que j’en avais lu très peu.
    
    — Je vais vous montrer un spécimen intéressant.
    
    Monté sur un tabouret, il attrapa un livre sur une étagère élevée puis me rejoignit sur le canapé.
    
    — Connaissez-vous Cocteau ?
    
    Je connaissais le nom, savais que c’était un poète et un homme de théâtre, mais sans avoir rien lu de ce qu’il avait écrit. Mon hôte s’assit à mes côtés et me confia un livre magnifiquement relié. Je l’ouvris et commençai à le feuilleter quand je tombai sur une page contenant une très belle aquarelle dont les couleurs vives attirèrent mon regard.
    
    Je réalisai subitement que le dessin représentait un jeune homme pourvu d’un énorme sexe en érection ! Gêné, je m’empressai de changer de page, mais, le livre étant rempli d’illustrations du même type, je dus abandonner, ne sachant pas quelle attitude adopter. Devais-je rester blasé, faire preuve d’« ouverture » d’esprit ? Mon cerveau réfléchissait à toute vitesse. Sous l’effet de la concentration sur mon travail, je n’avais pas envisagé du tout ce qui se passait. Je réalisai seulement maintenant que, lorsqu’un vieux monsieur célibataire invite chez lui un jeune homme assez mignon, il y avait quelque risque. Mais l’idée que ce vieux monsieur respectable aimait les ...
    ... garçons ne m’avait pas du tout effleuré jusque-là.
    
    Passant un bras autour de mes épaules, il me dit doucement :
    
    — Ces dessins vous troublent ?
    
    Certains hommes disposent d’un flair particulier pour deviner des proies potentielles. Il m’est souvent arrivé d’être surpris de découvrir les penchants de certains de mes futurs amants alors qu’eux avaient deviné dès notre première rencontre. Proust a très bien exposé cela dansLa Recherche, à propos de Charlus.
    
    Mr L. prit mon silence pour ce qu’il était : un acquiescement. Saisissant mon visage d’une main, il le tourna vers le sien en s’approchant pour m’embrasser. Je répondis immédiatement au contact de sa langue.
    
    Tout alla très vite et son sexe fut rapidement dehors : de taille moyenne, il était légèrement courbé vers le haut. Le gland était allongé, retroussé, avait une allure un peu perverse, diabolique, sans que je puisse expliquer cette impression. Mr L. tira légèrement ma tête, et je ne tardai pas à prendre ce nouveau sexe dans ma bouche.
    
    Au bout de quelques minutes, mon nouvel amant me demanda de me déshabiller pendant qu’il faisait de même. Puis, il m’examina dans les moindres détails, comme un anatomiste, me complimentant pour mon postérieur qu’il caressa longuement, me qualifiant de « callypige ». Sans être exhibitionniste, j’étais très « nature », et cet examen de détail ne me dérangeait pas du tout. Je trouvai même très excitant d’exposer les moindres détails de mon corps à ses yeux concupiscents, car je ...