1. Les intellectuels parisiens


    Datte: 15/04/2018, Catégories: hh, hplusag, jeunes, collection, hsoumis, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral hsodo, sm, Auteur: Eric2, Source: Revebebe

    ... ne doutais pas de l’effet que mon corps produirait sur lui.
    
    Après un certain nombre de caresses plus précises, où je sentais son corps et son sexe se frotter contre moi, il me fit mettre à quatre pattes sur le grand tapis de la bibliothèque, se mit à genoux derrière moi et me pénétra. Il n’avait pas l’énergie de mes premiers amants, mais, au lieu de baiser sauvagement, il le faisait de façon réfléchie, cherchant à nous donner du plaisir à tous les deux.
    
    Cette première séance dura une bonne demi-heure pendant laquelle il me fit prendre différentes positions. Après m’avoir fait asseoir sur le bord du canapé, lui à genoux entre mes jambes relevées et écartées, il exigea que je le regarde dans les yeux, puis, accélérant son rythme, il jouit en moi longuement.
    
    Ce nouvel amant s’avéra autoritaire, exigeant une obéissance totale à ses ordres lorsque nous faisions l’amour. Comme j’étais naturellement soumis, dans ce genre d’activité, cela ne présentait pas de difficulté.
    
    Mr L. parlait beaucoup lorsqu’il faisait l’amour, mélangeant des paroles très crues avec d’autres plus raffinées, créant une atmosphère fortement érotique.
    
    Il fut le premier à me passer sa langue entre les fesses, et la sensation était très agréable, même si je me sentis gêné les premières fois. Il l’utilisait avec délicatesse et une grande précision, et me faisait découvrir des plaisirs insoupçonnés. J’aimais beaucoup la forme de son sexe « diabolique ». Pendant que je le suçais, il lisait souvent ...
    ... des textes érotiques, refermant le livre au moment où il déchargeait dans ma bouche.
    
    Avec lui, ma « culture » prit une orientation très spéciale où seule la première syllabe avait de l’importance : des auteurs grecs anciens à ceux de la Renaissance, du XVIIIe siècle jusqu’aux temps modernes, je découvris, amusé, l’énorme quantité d’auteurs et d’artistes célèbres qui s’étaient prêtés aux jeux que nous pratiquions. Helléniste, il avait une prédilection pour les auteurs grecs anciens, et me fit découvrir de nombreux textes fort scabreux, en particulier les parties non traduites de l’Anthologie palatine. Ces épigrammes excitants se terminaient souvent en travaux pratiques, moi transformé en éphèbe pendant que mon satyre satisfaisait sa luxure.
    
    Mr L. me présenta un soir un de ses amis psychanalystes. Celui-ci était de petite taille et trapu, la cinquantaine. C’était un bon vivant et un sacré baiseur. C’est avec ces deux comparses que j’expérimentai la « totale » : j’étais en 69 avec le psy, moi à quatre pattes au-dessus de lui, jambes écartées, pendant que mon prof me pénétrait. Une fois la bonne position trouvée, j’avais deux sexes pour moi pendant que le mien était sucé : le plaisir complet, sans oubli !
    
    Le nouveau venu était un peu replet, mais cela ne le gênait nullement : il baisait avec entrain avec son sexe court, mais très épais. Il avait plus de durée que M. L. et un sperme abondant dont je me délectais. Quand il était présent, je devenais l’objet de ces deux ...