Mes amies, ma femme et moi - Le déjeuner
Datte: 09/08/2020,
Catégories:
fffh,
copains,
Oral
hfff,
Auteur: Roland C, Source: Revebebe
... les trois beautés et mon excitation n’avait guère faibli, bien au contraire.
Le repas reprit, ainsi que le supplice de Tantale auquel je me trouvais soumis depuis ce qui me semblait être une éternité. L’étroitesse de la table n’arrangeait rien et de temps à autres, mes jambes se mêlaient accidentellement à celles des filles ou nos pieds se touchaient. Chaque fois j’éprouvais une sensation à la fois puissante et douce qui venait un peu plus mettre à mal le peu de contrôle que j’exerçais encore sur mon sexe prêt à exploser. À cela il faut ajouter que nous étions assez près les uns des autres pour que je sois enivré par les odeurs des filles. Un doux mélange de discrets parfums, de douces senteurs de corps féminins avec l’ajout progressif d’une odeur de transpiration, tout aussi féminine, due à la chaleur ambiante. Ce qui m’amena des visions des corps des trois belles alanguis dans une atmosphère de sensualité torride. C’était intenable, j’étais fiévreux et je n’étais pas loin d’éjaculer.
C’est Apolline qui finalement vint à mon secours au moment où nous finissions le plat de résistance.
— Chéri, tu peux ramener ce plat à la cuisine, je te suis avec l’autre.
Je ne me fis pas prier et, me servant du plat pour cacher la bosse sur mon pantalon, je fonçai à la cuisine. Au moment où Apolline y fit son entrée, j’étais en train de me rafraîchir à grand coup d’eau froide sur le visage. Elle se colla à mon dos et murmura.
— Alors, Monsieur C., on est dans tous ses états ...
... ?
Je ne lui avais jamais caché l’effet que me faisait Noriko et elle savait parfaitement celui qu’elle-même avait sur moi. De toute façon, dans l’état où j’étais, il était impossible de cacher mon émoi.
À l’adresse des filles, elle dit plus haut.
— On arrive les filles, le temps de trouver une bricole dans ce fichu placard. Viens m’aider Roland.
Apolline m’attrapa par la ceinture et me tira vers un grand placard, en fait une petite pièce garde-manger contiguë à la cuisine. Après avoir tiré la porte, elle se mit à genoux devant moi et ouvrit ma braguette.
— Mmmm alors, voyons voir ça.
Je sentis sa main chaude passer ma braguette, pénétrer dans mon slip et se poser sur mon sexe. Il me fallut un effort surhumain pour ne pas me laisser aller dans cette main si douce. Elle extirpa avec grand ménagement, mon sexe, au comble de l’excitation, de mon pantalon. Je savais que, dans l’état où j’étais, l’éjaculation n’était pas loin. Déjà, de mon gland, perlaient des gouttes de sperme.
— Vas-y doucement Apolline, je vais pas tenir.
Son regard et son sourire prirent cet air de malice annonciateur de bien des plaisirs.
— Oui je vois ça, mon petit Roland. Mais ne t’inquiète pas, je m’en charge. Par contre, il faudra me rembourser plus tard. Surtout que ça va me faire un supplément de dessert, c’est mauvais pour ma ligne ça.
Avec un regard franchement lubrique, elle emboucha directement mon sexe brûlant. Je tressaillis sous le contact humide et chaud de sa bouche, ...