1. Mes amies, ma femme et moi - Le déjeuner


    Datte: 09/08/2020, Catégories: fffh, copains, Oral hfff, Auteur: Roland C, Source: Revebebe

    Marié à une superbe jeune femme, je ne pensais pas que ma vie pourrait être plus parfaite. Et surtout, je pensais les folles aventures dont, pour certaines, vous avez pu lire les récits sur site, loin derrière moi. Je me trompais lourdement comme vous allez le découvrir dans les péripéties que je vais vous conter.
    
    La première de ces péripéties se déroule, il y a à peu près deux ans, pendant la période estivale. Cela faisait un an qu’Apolline et moi-même étions mariés et les difficultés inhérentes aux circonstances de notre mariage avaient fini par être vaincues par la naissance d’un véritable sentiment d’amour. Je filais donc le parfait amour avec ma superbe camerounaise. Du coup notre vie sociale en couple se portait bien mieux. C’est donc au milieu de l’été que nous nous sommes décidés à inviter nos amies Noriko et Aïcha à déjeuner, un dimanche midi.
    
    Les circonstances dans lesquelles j’avais rencontré Noriko étaient particulièrement rocambolesques. En effet, Noriko est une magnifique eurasienne avec laquelle, avant de rencontrer ma femme, j’avais eu l’occasion de tourner un film pornographique amateur. Après le tournage, je suis rapidement devenu ami avec Noriko et sa compagne Aïcha. Une fois marié, j’ai continué à fréquenter le couple de jeunes femmes et des liens d’amitiés n’ont pas tardé à se créer entre elles et ma femme.
    
    Nous avions donc invité nos amies à déjeuner. La journée s’annonçait des plus chaudes et des plus ensoleillées, ce qui n’était pas pour me ...
    ... déplaire. Comme tout le monde, j’aime les journées ensoleillées et je les aime d’autant plus que, généralement, leur chaleur pousse mon épouse à porter des tenues plutôt légères. Ce jour-là, Apolline portait une robe d’été de couleur bleu-ciel, très courte et assez légère pour laisser deviner ses formes. Des formes encadrées par ses longues nattes afro tombant jusqu’au bas de son dos. En dessous de sa robe, je savais qu’Apolline ne portait qu’un soutien-gorge, indispensable pour soutenir son opulente poitrine. Pour parachever le tout, tandis qu’elle cuisinait, elle se dandinait au son de la radio en chantonnant. La voir se déhancher et bouger sa chute de reins plus que généreuse, me donnait de véritables difficultés à me concentrer sur les préparatifs du repas. Pour tout dire, je commençais à avoir chaud et à sentir venir une érection monstrueuse. C’est au moment où, hypnotisé par les déhanchements de mon épouse, j’envisageai plus que fortement une partie de jambes en l’air que la sonnette de l’appartement retentit.
    
    Avant d’aller ouvrir la porte, je pris un instant pour reprendre mon sang-froid et calmer mon excitation naissante, ce dont Apolline se rendit compte. Elle s’adressa à moi avec un sourire coquin, car elle n’ignorait rien de l’effet qu’elle me faisait :
    
    — Chéri ? Tu ne vas pas répondre ?
    — Oui, oui… Un instant, j’y vais.
    
    Arrivé à la porte, j’avais quelque peu réussi à reprendre mes esprits. Le spectacle qui s’offrit à moi à l’ouverture de la porte me fit ...
«1234...»