Mes amies, ma femme et moi - Le déjeuner
Datte: 09/08/2020,
Catégories:
fffh,
copains,
Oral
hfff,
Auteur: Roland C, Source: Revebebe
... Roland, revient sur terre.
— Heu, oui, oh pardon Aïcha. Ça va ?
Mes relations avec Aïcha avaient évolué de la méfiance vers l’amitié. Dès le départ, elle avait compris ce que je ressentais pour sa compagne, et me voyait comme un rival. Puis elle avait compris que j’étais décidé à respecter leur amour et à me limiter à des liens d’amitié avec Noriko. Mon mariage avec Apolline avait achevé de la rassurer. Mais à cet instant, troublé comme je l’étais, j’étais bien loin de ce genre de considérations.
Après avoir fermé la porte, je me retournai et me trouvai derrière les deux filles. Leurs tenues respectives me permettaient d’apprécier la beauté de leurs jambes et les mouvements de leurs fesses pendant qu’elles marchaient, sans oublier les ondulations de la longue chevelure noire de jais de Noriko. Au moment où Aïcha mit tendrement la main aux fesses de Noriko, je sentis mon sexe se mettre à gonfler dans mon pantalon. Cela ne s’arrangea pas lorsqu’Apolline vint accueillir les filles, chacune complimentant les autres sur leurs vêtements et testant la douceur des tissus. J’étais dans un appartement seul avec trois jeunes femmes, dont deux sont, sans aucun doute, les femmes de ma vie. Et ces trois jeunes femmes superbes étaient en train d’examiner et de toucher les quelques bouts d’étoffes qui couvraient leurs corps magnifiques, tout en laissant ignorer peu de choses de leur beauté. Je commençai à avoir très, très chaud et mon sexe gonflait au point que l’érection serait ...
... bientôt difficile à cacher. Pour essayer de penser à autre chose, je me mis au devoir de m’occuper de l’apéritif.
— Bon les filles, je sers l’apéro. Je suppose que c’est comme d’hab’. Et pour une fois, Aïcha, je vais tourner au jus d’orange comme toi.
Dans l’état d’excitation où j’étais, boire de l’alcool ne risquait pas d’arranger les choses.
Quelques instants après nous nous trouvions assis autour de la petite table ronde de la salle à manger. Comme par un malicieux hasard, je me retrouvais entre Apolline et Noriko. De prime abord je me dis qu’au moins, avec Aïcha en face de moi, je risquais moins de loucher que si ça avait été l’une des deux autres filles. Mais je n’ai pas tardé à réaliser que son tee-shirt blanc était assez moulant pour ne rien laisser ignorer de sa poitrine qui, si elle était plus petite que celles des autres filles, n’en était pas moins désirable. Ainsi je pouvais deviner de jolis petits seins en forme de poire tout à fait en harmonie avec le physique longiligne de la belle marocaine. Je tentais de me calmer en portant mon regard ailleurs, mais c’était peine perdue, serrés comme nous l’étions, j’avais forcément l’une des filles sous mes yeux. Dans tous les cas c’était difficile, voire impossible, de ne pas baisser le regard pour contempler le merveilleux spectacle d’une belle poitrine.
À droite, c’était Noriko avec ses seins de bonne taille, qui pointaient sous son tee-shirt vert-clair si transparent qu’il me semblait distinguer les aréoles. À ...