1. Mes amies, ma femme et moi - Le déjeuner


    Datte: 09/08/2020, Catégories: fffh, copains, Oral hfff, Auteur: Roland C, Source: Revebebe

    ... gauche, s’était Apolline avec sa poitrine énorme prise dans un soutien-gorge et une petite robe qui avaient bien du mal à la contenir. Ma diablesse de femme choisissait toujours ses vêtements de façon à ce que ses formes soient toujours à la limite d’en déborder. J’étais foutu, mon sexe était au summum de l’érection, je ne savais plus où poser mes yeux et il était hors de question que je me lève, sinon les filles auraient vu dans quel état j’étais.
    
    Pendant le repas, j’essayai de me concentrer sur la nourriture qui était, par ailleurs, excellente. Mais c’était peine perdue, et la vue des filles portant la nourriture à leur bouche me faisait naître toutes sortes de visions érotiques toutes plus excitantes les unes que les autres. Noriko portant un radis à ses lèvres sensuelles, Aïcha croquant à belles dents dans un morceau de viande, Apolline léchant avec gourmandise la sauce sur son couteau. Et soudain Aïcha renversa maladroitement une partie de son verre d’eau sur elle-même. D’abord l’eau tomba sur le bas de sa gorge venant rafraîchir sa peau mate, puis arriva sur son tee-shirt, accentuant au passage l’effet de transparence de celui-ci. Le tee-shirt ne cachait maintenant plus rien et l’absence de soutien-gorge acheva de révéler un spectacle accentuant mon trouble. Du coup, je me trouvai donc les yeux rivés sur les seins désormais presque à nu de la belle. Pendant que Noriko se moquait gentiment de sa copine et qu’Apolline l’aidait à s’essuyer, je refis une tentative de ...
    ... reprendre mon calme en soufflant un peu. Finalement Apolline et Aïcha partirent, en riant, à la salle de bain pour sécher les vêtements de cette dernière.
    
    Soulagé, je me dis :
    
    « Enfin un peu de répit, je vais pouvoir essayer de me calmer, de me concentrer sur autre chose pour faire fléchir la fichue trique que j’ai dans le pantalon. »
    
    Mais s’était compter sans Noriko, qui s’inquiétait de moi.
    
    — Ça va Roland ? Tu as l’air un peu fiévreux.
    
    Elle mit aussitôt sa main sur mon front. À son contact, je ressentis ce fameux trouble, d’autant plus fort que je ne m’attendais pas à ce geste. Une sorte de courant électrique partit de mon front, descendit le long de ma colonne vertébrale pour arriver comme multiplié par dix, au bout de mon sexe. Il s’en fallut de peu pour que je n’éjacule sous le choc. Noriko le comprit assez vite et avec un sourire mi-affectueux, mi-moqueur me dit :
    
    — C’est dur l’été, pour un mec, quand les filles s’habillent légèrement. Mais rassure-toi, pour certaines lesbiennes c’est pareil.
    
    Ne comprenant pas bien là où elle voulait en venir, j’allais lui poser une question, quand je fus interrompu par le retour d’Apolline et d’Aïcha. Noriko me fit signe de me taire en mettant son index devant ses lèvres sensuelles. Les joues d’Aïcha étaient un peu empourprées, sans doute était-elle gênée par ce qui venait d’arriver. Sa nature timide n’avait pas complètement disparue. Mais je n’eus guère le loisir d’y réfléchir, je me trouvai à nouveau à table avec ...
«1...3456»