Mes amies, ma femme et moi - Le déjeuner
Datte: 09/08/2020,
Catégories:
fffh,
copains,
Oral
hfff,
Auteur: Roland C, Source: Revebebe
... perdre tout espoir de retour au calme. Je me retrouvai face à Noriko et Aïcha que la chaleur avait également poussées à s’habiller de façon légère. Noriko, toujours aussi superbe, portait un tee-shirt vert-clair presque transparent et une jupe bleue plus mini que mini. Je pouvais deviner sans peine ses seins, probablement libres de toute contrainte sous le tee-shirt. Des seins que je savais être de belle taille et d’une forme parfaite, puisque j’avais eu le plaisir de les contempler par le passé. La taille de la jupe me faisait appréhender le moment où les mouvements de jambes de Noriko ne permettraient plus à son vêtement de cacher sa petite culotte, si toutefois elle en portait une. Ce qui me ramenait en mémoire la vue et la saveur de son sexe auxquelles j’avais goûté avec délectation lors du tournage du porno amateur.
Aux côtés de Noriko, Aïcha était vêtue tee-shirt et d’un pantalon blanc extrêmement moulants, contrastant avec son teint mat et mettant bien en valeur son physique longiligne. Son régime alimentaire et sportif lui réussissait très bien car son physique n’avait jamais été aussi harmonieux. Elle avait laissé pousser ses cheveux qui étaient mi-longs, ce qui embellissait son visage. Visage sur lequel la timidité habituelle cédait place, depuis quelques mois, à un sourire épanoui. En dépit du fait qu’elle ne correspondait pas vraiment à mon type de femme favori, je dois reconnaître qu’elle était extrêmement mignonne. En fait, je réalisai pour la première fois à ...
... quel point elle pouvait être belle. Son épanouissement était sans doute lié au fait que, dans un avenir très proche, Noriko projetait de se retirer du monde de la prostitution et de la pornographie.
Pour compléter le tableau, les deux jeunes femmes resplendissantes se tenaient par la taille amoureusement. Je restai quelques secondes bouche bée devant le merveilleux spectacle, littéralement en extase devant un spectacle si enchanteur.
C’est Noriko qui bougea en premier pour me faire la bise. Avoir un contact physique avec Noriko, quel qu’il soit, c’est toujours pour moi une expérience véritablement troublante. Tout d’abord, je me noie presque complètement dans ses grands yeux marron, puis je sens son parfum, à la fois doux et enivrant. Ensuite, au fur et à mesure qu’elle se rapproche, je ressens comme une sorte de trouble. Un délicieux frisson, comme si des ondes magnétiques venues de son corps magnifique envahissaient doucement mon propre corps. Enfin, lorsque sa peau touche la mienne, je ressens un trouble intense, comme si l’espace de ce contact, j’avais la vision et la sensation de ce que peut être le paradis. De toutes les femmes que j’ai connues, seules Noriko et Apolline me font ce genre d’effet. Cette fois-là ne fit pas exception à la règle et l’embrassade avec Noriko m’amena ce délicieux trouble que je viens de vous décrire. Aïcha suivit, me posa les mains autour de la taille et m’embrassa avec un sourire moqueur, elle comprenait bien mon trouble.
— Roland ? ...