1. La chute éperdue


    Datte: 14/04/2018, Catégories: fh, hplusag, jeunes, Oral pénétratio, init, Auteur: Lilas, Source: Revebebe

    ... s’embrassèrent profondément, goulûment. Pendant ce temps, Maxime avait glissé sa main sous les serviettes, qu’il écarta, puis sur le collant mouillé de la jeune fille, sous la robe. Les doigts remontèrent le long de sa cuisse, puis, à travers le collant et la culotte, frottèrent fort son entrejambe.
    
    – Qui aurait cru que sous ton apparence si vertueuse, tu n’étais qu’une petite vicieuse… plaisanta Maxime contre la bouche offerte de Marie, qui rouvrit les yeux pour le regarder.
    
    Elle chassa la vision de ses parents, de sa tante, relégua sa promesse loin dans son esprit.
    
    – Et toi, un sale vieux pervers, ajouta-t-elle dans un sourire.
    
    Mais elle fronça les sourcils et ajouta :
    
    — Et Angela ?
    — Elle est partie, éluda-il d’une voix caressante. Au fait, j’ai fermé la porte de ta chambre à clef…
    
    L’écho des rires, en bas de la maison, les berçait presque. Maxime s’allongea sur Marie, sa main toujours sous sa jupe. Entre ses jambes, tout était brûlant. Lentement, Maxime saisit les pans de son collant, et tira sur les jambes, le descendant jusqu’aux chevilles. Les cuisses nues de Marie s’écartèrent immédiatement, ouvrant la robe. Maxime posa à nouveau sa main sur la culotte blanche, toucha son centre et le caressa avec un désir contenu. Le tissu de coton était humide, et pas seulement à cause du bain improvisé… En accélérant la masturbation, Maxime sentit, sous son doigt, à travers la culotte, le clitoris gonflé de Marie, il sentit sa chaleur, son odeur, sa ...
    ... moiteur.
    
    Il glissa un doigt sous l’élastique et atteignit la chair douceâtre de son sexe. Lentement, le doigt visita les lieux, puis Maxime, se positionnant entre les jambes de Marie, à genoux, ouvrit de son autre main le bord de la culotte. À sa vue se présenta la fente rose bordée de poils, douce et brûlante. Il s’empressa d’y loger son majeur, l’enfonçant et le retirant avec patience jusqu’à ce que la chatte déborde de cyprine. Marie, consentante et heureuse, s’offrait avec audace.
    
    Max sourit, et enfonça violemment son doigt, la branlant, y allant fort. Marie sursauta et poussa un « hummm ! » de plaisir. Ses jambes tremblotaient nerveusement, largement écartées autour des genoux de Max.
    
    Penché sur elle, il la masturbait frénétiquement, le visage tendu. Ses mains aussi tremblaient. Marie ondoyait de plus en plus près de lui, se soulevant pour mieux sentir l’invasion de son vagin par le doigt habile. Elle gémissait…
    
    Tout en la branlant, Max lâcha l’élastique du slip, et ouvrit sa propre braguette, son bouton puis son ceinturon. D’une seule main, il baissa la taille de son jean, humide de l’eau de la piscine, et son pénis jaillit, dressé, énorme.
    
    Marie le regarda entre ses cils à demi fermés. Une lueur d’excitation et d’appréhension filtrait dans ses yeux. Il se branla presque sous son nez, ralentissant le mouvement entre les cuisses de Marie.
    
    Elle fixait la grande queue qui se balançait dans les doigts de Max, rose et nervurée. La bouche entrouverte, ses yeux ne ...
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