1. La chute éperdue


    Datte: 14/04/2018, Catégories: fh, hplusag, jeunes, Oral pénétratio, init, Auteur: Lilas, Source: Revebebe

    ... un cri rauque. La seconde d’après, alors qu’elle regardait le jeune homme jusqu’au fond des yeux, il enfonça son membre dressé entre ses cuisses, pénétrant Marie d’un coup de reins souple, énergique.
    
    Elle eut un cri étouffé et étonné.
    
    Il se retira tout de suite. Marie n’avait pas eu mal, tant sa fente rouge était liquéfiée par le désir. Cependant, il n’avait pas enfoncé sa bite assez loin.
    
    Le sang cognait à ses tempes. Il respirait si mal que son cœur battait irrégulièrement. Pressée de jouissance, sa bite palpitait contre le ventre de Marie. Il la posa à l’entrée de sa chatte humide, attendit, puis poussa à nouveau. Marie sursauta et s’arqua contre lui, un autre cri aux lèvres.
    
    Il s’enfonça, profondément cette fois. L’hymen se déchira, le laissant passer, la pénétrer loin.
    
    La douleur la surprit. Marie haletait de souffrance. Elle s’agrippa à lui, le serrant tout contre elle. Sa tête roulait sur la couverture, des cheveux s’échappaient en longues mèches sur l’oreiller.
    
    Maxime se retira. Puis il s’enfonça. Encore. Et encore.
    
    Puis il se retira. Marie le rappela, meurtrie mais avide.
    
    Le désir l’aveuglait. Son sexe était énorme. Il comprenait qu’elle ait eu mal, mais comme il avait envie d’elle ! Retenant son souffle, il fit coulisser son sexe dans la fente de Marie. Celle-ci le laissait faire, gémissante. Entre ses cuisses, les reins allaient, venaient, régulièrement.
    
    Maxime se retira à nouveau. La chatte de Marie commençait à luire. Il positionna son ...
    ... gland contre le clitoris, puis le fit glisser à l’intérieur encore une fois. Il s’enfonça mieux, cette fois. Alors, il poussa son sexe plus loin encore, plus fort, jusqu’à ce que Marie se détende.
    
    – Tu as encore mal ? demanda-t-il dans un souffle.
    
    Elle fit non de la tête.
    
    Sa fente avalait le membre dur de Maxime, l’avalait de plus en plus profondément. Il remua. Fort, cette fois. Ses reins allaient, venaient, régulièrement, Marie reculait sous lui, s’enfonçait dans le matelas. Maxime perdait la tête. Douce, moite, elle le recevait, l’attirait, inexorablement, vers le fond. Marie serrait les dents, secouée d’avant en arrière, empêchant ses cris de volupté de passer ses lèvres.
    
    Couvert de transpiration, Maxime s’arrêta soudain, le cœur battant à tout rompre. Il retira sa queue enflée, caressa d’un doigt tremblant la fente béante. Marie apprécia ce repos provisoire. Il introduisit un doigt expert en elle, profondément, d’avant en arrière ; la douleur s’évanouit progressivement sous la poussée du majeur.
    
    Alors, il enfonça à nouveau son membre dans la fente qui s’ouvrit sur son passage, le laissant aller plus loin au fur et à mesure qu’il glissait en elle. Marie était tendue, mais ses cuisses demeuraient ouvertes à s’en déchirer.
    
    Il se retira une énième fois, remit son doigt à la place, recommençant son manège, sentant sa volonté faiblir à chaque fois. À cet instant, le doigt qui s’enfonçait régulièrement en Marie reçut un accueil enthousiaste : elle se tendit de ...