1. Eta gaur ezkontzeko hitza eman du. Et la voilà fiancée. (2)


    Datte: 07/08/2020, Catégories: Erotique, Auteur: Olea, Source: Xstory

    ... notre entretien par la bise de bienséance. Le baiser sur son corps fut accueilli par un soubresaut de méfiance. Le contact avec ma bouche n’était pas encore permis semblait-il. J’entrepris alors de le toucher du bout des doigts et de le caresser sur la longueur. D’abord sur le côté droit mais le sautillement fut toujours présent, j’essayai alors le côté gauche mais le cahot ne s’estompait pas pour autant. Il est souvent vrai que les terminaisons nerveuses sont plus sensibles lorsqu’elles sont sollicitées sur des endroits bien ciblés et je profitais de cet état de fait pour jouer avec lui. De la même manière avec ma seconde main je vins faire glisser le dos de mes ongles sur la peau de ses testicules provoquant ainsi une danse pour le peu singulière. Chacun de mes contacts avec eux les faisait se recroqueviller et la réaction se répercutait au corps auquel ils étaient rattachés. Son sens du toucher était arrivé à son extrême limite si bien qu’un seul de mes cheveux volant au vent et caressant par inadvertance son corps provoquait un tressaillement. Je possédai sur lui un ascendant dont je comptai bien profiter.
    
    Mon regard était plongé dans le sien, sondant ses iris à la recherche de la moindre réaction. Je jouais avec lui comme un chat jouerait avec une souris. J’espaçai mes caresses pour qu’il subisse pleinement chaque réaction de son membre viril. Les effleurements n’étaient pas trop rapprochés pour ne pas lui faire mal mais convenablement espacés pour ne pas lui laisser ...
    ... de répit. Enfin je pus observer un changement significatif dans son comportement. Il ne clignait plus des yeux, réflexes innés s’il en est et me fixait ardemment comme pour se concentrer. Je modifiais alors ma mignardise, chacune de mes affections était accompagnée du souffle chaud et humide de ma respiration. Si ma main venait effleurer d’un côté sa raideur, ma bouche venait presque se poser par dessous. Mes lèvres s’adaptaient à la largeur de l’édification sans jamais le toucher puis suivaient la vitesse de ma caresse manuelle expirant tout l’air de mes poumons. Je mettais un point d’honneur à faire glisser ma lèvre inférieur lorsque le mouvement arrivait sur le sommet de sa verge exaspérée.
    
    Il osa enfin manifester ses émotions et posa une de ses mains sur mes cheveux. Il les empoigna fortement sûrement pour me supplier d’arrêter cette torture, j’y vis un aveu de faiblesse. Ayant repris un ascendant certain sur lui, je lui concédai alors une récompense. J’empoignai de toute ma main son pénis à la base et je pris enfin conscience de son état d’excitation. Je pouvais sentir les battements de son cœur à travers les veines parcourant le corps spongieux. Les pulsations rapides et la solidité incroyable de ses canaux sanguins ne pouvaient cacher son avancée vers le plaisir. J’entrepris de faire glisser ma main fermement le long de son sexe pendant que mes lèvres vinrent épouser son sommet. Ma bouche absorba petit à petit son sexe jusqu’à venir rencontrer ma main baladeuse. Ma ...
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