Eta gaur ezkontzeko hitza eman du. Et la voilà fiancée. (2) - Histoires de Sexe

Eta gaur ezkontzeko hitza eman du. Et la voilà fiancée. (2)

... fierté ou l’acceptation de soi. Chacune d’entre elles calmait les impétueux remous et bravait le courant, cassant un à un ses assauts si bien que ne diffluait plus en moi qu’un petit ruisseau paisible.

Je décidai de prendre les devants et j’ôtai mon t-shirt. Le frottement du tissu sur ma peau provoqua des frissons incontrôlables. Je n’avais jamais auparavant pris les commandes de ma vie de cette manière, plutôt suiveuse que meneuse. Mais c’était une chose révolue. Je voulais changer et j’agissais en conséquence. Cela ne se voyait sûrement pas mais j’étais tremblotante. J’essayai maladroitement de défaire le bouton de mon short mais la pression aspirait toutes mes forces. Toute engourdie je m’efforçai de faire passer ce satané bouton hors de sa boutonnière mais il n’y eut rien à faire. Je fus littéralement prise de panique et c’est alors que je vis une paire de mains habiles se rapprocher de l’œillet. Avec un geste assuré il défit le bouton récalcitrant accompagné d’une petite blague à mon égard pour me détendre probablement.

Quel ascenseur émotionnel !

Je venais de passer en quelques secondes d’une femme volontaire et sûre d’elle à une enfant qui avait encore du mal à se déshabiller. Il avait anticipé ma réaction avant que le rouge n’ait complètement recouvert mon visage. En guise d’explication, il exprima un compliment et son envie de découvrir avec impatience la beauté de mon corps. Le choix du maillot avait été un vrai dilemme. Je voulais lui plaire mais les ...

... réminiscences de mes doutes passés cognaient encore dans mon esprit. J’optai finalement pour un joli maillot une pièce. Il était sexy sans être provocant et laissait entrevoir une grande partie de mon anatomie sans pourtant tout dévoiler. Il était blanc en bas et était taillé comme un slip brésilien de ce fait mes fesses étaient en partie visibles. Devant ,deux bandes de tissu noir s’échappaient de part et d’autre de mon nombril puis venaient recouvrir ma petite poitrine pour enfin se rejoindre et s’agrafer sur ma nuque. Je ne savais plus où me mettre mais il fallait continuer, je devais faire front et continuer à aller de l’avant. J’attrapai la braguette et commençai à la faire descendre tout le long de la fermeture éclair. Il ne resta plus qu’à faire tomber le short. Je me balançai afin de faciliter sa chute. Il glissa le long de mes cuisses pour finalement s’échouer à mes pieds déjà nus. Tout en sautillant hors du tissu au sol je m’accrochai à son bras mais un excès d’ardeur me fis chavirer sur lui.

On était l’un contre l’autre. Lui tenait mon bras et avait posé son autre main sur mes flancs tandis que j’avais positionné mes avant-bras sur son torse pour amortir le choc. Honteuse je n’avais pas pu réprimer un éclat de rire. Mais je fus aussi heureuse de pouvoir profiter d’un contact avec lui, il ne m’était plus indifférent depuis quelques mois. Il était l’instigateur de tous mes changements et il était opportun d’affirmer mon envie de le remercier. Je me plongeai dans son ...