Manon à la tombée de la nuit
Datte: 06/08/2020,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Hardcore,
Mature,
Auteur: pageblanche, Source: xHamster
... gardes ton pull. »
Ce n’était pas un ordre, c’était une envie. Manon le savait, et la plupart du temps elle appréciait de ce que je lui demandais. Rares furent les fois où elle se montra réticente.
Sans dire un mot, elle s’est mise à défaire les lacets de ses bottines. De mon côté, tout en suivant ses gestes, je me suis allumé une autre cigarette. Nos vitres étaient entrouvertes pour laisser la fumée s’enfuir, et aussi parce qu’il faisait plutôt bon dehors.
Elle a ôté ses bottines, puis elle s’en est prise à son pantalon moulant qui n’a pas tardé à glisser le long de ses cuisses. Dessous, elle portait une simple culotte noire, très ordinaire, qui rejoignit sans tarder le pantalon que Manon avait posé en boule sur le plancher.
Au tout début de notre histoire, elle avait eu la chatte poilue, puis elle avait décidé de tout raser, pour voir. Elle avait donc le pubis totalement lisse ce soir-là, sur le siège passager. Elle s’est tournée vers moi et je lui ai caressé la cuisse. Elle souriait et je bandais.
« Et maintenant ? m’a-t-elle dit. »
« Maintenant, dis-je, dis-moi ce que toi tu as envie de faire. »
« Je vais te sucer, a dit Manon. »
J’adorais qu’elle me suce. Elle le faisait divinement bien. Elle savait comment s’y prendre pour parvenir à faire gonfler mon gland à bloc, sans la moindre douleur. Et c’est ce qu’elle fit ce soir-là, après que j’eus baissé mon pantalon et mon caleçon à mes chevilles. Elle s’est disposée quasiment à quatre pattes sur son ...
... siège, puis elle a pris ma queue entre ses doigts pour la branler doucement. Mais le geste divin était celui-ci : la façon qu’avait Manon de promener sa langue humide autour de mon gland. Sur la fente, mais aussi à la base. Et sa façon de le gober dans sa bouche, de saliver au bon moment et de le mordiller parfois, du bout des dents, un court instant.
La lumière déclinait sérieusement dehors, mais je distinguais encore très bien le cul de Manon pendant qu’elle me suçait. Il était à hauteur de la vitre et je le touchais de temps en temps. Je lui prenais une fesse, ou bien je laissais mon doigt s’aventurer dans la raie, jusqu’à l’anus et en-dessous.
Puis la lumière des phares a surgi d’un seul coup.
Un halot jaunâtre qui s’est déversé autour de nous avant qu’on ait eu le temps de réaliser ce qui se passait. Un véhicule venait dans le chemin.
« Merde… »
Un fourgon blanc qui s’est immobilisé à quelques mètres de ma voiture, ses phares braqués sur le cul de Manon. Jusqu’à ce que le conducteur éteigne tout, moteur et lumière, restituant le silence et l’obscurité. La scène n’avait pas duré dix secondes. Manon s’est rassise normalement et j’ai remonté mon pantalon et mon caleçon en scrutant la masse claire formée par le fourgon.
« C’est pas de bol, dis-je. »
Manon s’était de même tournée vers le véhicule. Puis une portière s’est ouverte et nous avons vu une silhouette floue sortir et contourner le fourgon par l’arrière. Puis il y a eu des bruits sourds.
« Et ...