Manon à la tombée de la nuit
Datte: 06/08/2020,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Hardcore,
Mature,
Auteur: pageblanche, Source: xHamster
Dès le premier jour, Manon m’avait dit :
« Je peux faire n’importe quoi. »
Elle était étudiante et j’avais huit ans de plus qu’elle. Elle sortait avec un pote qui s’appelait Thierry et qui avait eu la mauvaise idée de me vanter les vices et les vertus de cette jeune nana. Inversement, je crois qu’il lui avait un peu trop parlé de moi. Du coup, sans s’être jamais rencontrés, nous avions ressenti un désir à distance.
Je vivais moi-même en couple depuis plusieurs années, alors, Manon et moi, on se retrouvait secrètement dans des endroits et à des horaires variés. Une heure par ci, deux heures par là. Il arrivait qu’on se choisisse un coin de forêt ou les berges d’un étang, la chambre d’une maison ou d’un château abandonné, mais bien souvent nous restions tout simplement dans ma voiture, cachés dans un chemin.
Ce fut le cas ce soir-là, à la tombée de la nuit. Il me semble que c’était en avril. Nous avons suivi un chemin cabossé qui se décrochait d’une route pour grimper dans un petit bois jusqu’à une espèce de clairière où des gens venaient visiblement déverser des déchets de temps à autres.
J’ai garé la voiture de sorte à ce qu’on n’ait pas la tête en bas une fois les sièges avant baissés, puis nous avons discuté pendant un moment, en fumant une cigarette. C’était toujours ainsi avec Manon : nous parlions beaucoup. De littérature, de cinéma, de fantasmes qu’on avait.
Et, de temps en temps, au fil de nos discussions, elle me glissait cette phrase dont je n’ai ...
... en fin de compte jamais pu vérifier la portée réelle :
« Je peux faire n’importe quoi. »
Nous étions de plus en plus complices, elle et moi. Peut-être même qu’on n’aurait pas dû en rester à une relation illégitime. Peut-être qu’on se serait encore mieux éclatés si nous nous étions mis ensemble. Ou peut-être pas. On ne peut pas savoir, mais j’y pense parfois.
Tout ce que je sais, c’est qu’en l’espace d’une année et demie de relation secrète, on a vécu quelques scènes croustillantes. Celle que je relate dans les lignes qui suivent n’est qu’un exemple. J’en ai d’autres en mémoire, et je me réserve bien entendu le droit de les transformer en les racontant.
Nos souvenirs n’appartiennent qu’à nous. Nous en faisons ce qu’on veut et il me plait de les ressasser en les tordant dans tous les sens, de sorte à en tirer un maximum de plaisir.
Je suis certain que Manon ne me contredirait pas.
Ce soir-là, donc, la nuit tombait et nous étions garés dans cette espèce de clairière, à quelques dizaines de mètres d’une route qu’on ne voyait pas. Au terme de notre cigarette, Manon m’a dit :
« De quoi tu as envie ? »
Elle portait un pull acrylique rouge et très fin qui épousait parfaitement le volume de sa poitrine. Un pantalon moulant noir et des petites bottines à lacets, noires également. Manon avait les cheveux bruns, longs et lisse. Elle les laissait souvent détachés. C’était le cas ce soir-là.
Je lui ai répondu :
« J’aimerais que tu n’enlèves que le bas et que tu ...