Manon à la tombée de la nuit
Datte: 06/08/2020,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Hardcore,
Mature,
Auteur: pageblanche, Source: xHamster
... quarante-cinq ans. Bien plus âgé que moi, mais un peu moins grand. Mes yeux s’habituaient à la pénombre.
Je lui ai dit :
« Je m’appelle Antoine. »
Sans doute surpris, il attendit quelques instants pour répondre :
« Pascal. »
On ne s’est pas serré la main.
J’ai ajouté :
« Et la jeune femme qui est avec moi s’appelle Manon. »
Il a hoché la tête dans la pénombre.
J’ai continué :
« On venait juste de commencer, vous auriez pu tomber sur une scène plus compromettante. »
« Sans doute, s’est-il contenté de dire. »
Et j’ai enchaîné :
« Cela dit, Manon n’est pas particulièrement pudique. De ce qu’elle m’a raconté, il lui est déjà arrivé de se faire surprendre dans des situations plus embarrassantes. »
L’homme a remué la tête, sans rien dire, et j’ai ajouté :
« Mais venez, je vais vous la présenter. »
« Je ne veux pas déranger, dit aussitôt l’homme. »
« Vous ne nous dérangez pas, venez. »
J’ai fait un pas en arrière et il a fini par se décider à en faire un en avant, puis par me suivre jusqu’à ma voiture.
Là, j’ai donné deux coups à la vitre et Manon a aussitôt activé l’ouverture automatique. Elle n’avait pas remis sa culotte. Ses cuisses étaient encore un peu écartées. L’homme se tenait dans mon dos et j’ai dit à Manon :
« C’est quelqu’un de cool, tout va bien. »
Sur ces mots, je me suis dérobé, puis l’homme a fait un pas vers la vitre et a levé la main vers Manon en disant :
« Bonsoir mademoiselle. »
« Bonsoir, dit ...
... Manon. »
L’instant suivant, elle alluma une cigarette. L’homme vit alors la même chose que moi sous l’éclat de la flamme : la chatte lisse de Manon.
Elle souffla sa fumée par la vitre ouverte et je dis à l’homme :
« Une minute plus tard, elle aurait sans doute été toute nue. »
Il n’a rien dit. Il semblait figé dans la pénombre, à un mètre de moi et de la vitre ouverte. Sans doute ne comprenait-il pas ce qui était en train de se passer dans ces instants. J’aurais réagi comme lui si j’avais été à sa place : je n’aurais rien trouvé à dire. J’aurais attendu la suite.
C’est ce qu’il a fait.
« Vous fumez ? dis-je. »
« Juste de temps en temps. »
« Vous en voulez une ? »
Il hésita, puis répondit :
« Je ne veux pas déranger. »
L’instant suivant, Manon lui tendit son paquet ouvert, et il ne mit pas longtemps à y prendre une cigarette. Je lui donnai du feu, et cette nouvelle flamme lui permit de nouveau de lorgner sur les cuisses nues et la chatte de Manon assise sur le siège. Elle le regardait.
Il dit alors :
« Ça sent le printemps. »
« Oui, dis-je. Mais on peut encore avoir des gelées au mois de mai. »
« C’est ce qui s’est passé l’année dernière, dit-il. Ça m’a cramé toutes mes tomates. »
« Vous habitez dans les coins ? »
« Dans le bourg, juste là, dit-il en désignant une vague direction. Dans un lotissement, avec ma femme et mes fils. Je suis en train de refaire un muret et j’ai quelques gravas. Bon, ce n’est pas bien de les balancer ...