1. Un été caniculaire 1


    Datte: 14/04/2018, Catégories: fh, ff, ffh, fbi, copains, cinéma, Oral Auteur: Dr lamb, Source: Revebebe

    ... mangeaient ça et là. Il n’y avait que deux serveurs.
    
    Nadia nous attendait à l’entrée. Elle portait une jupe bleu et un haut blanc particulièrement moulant. Ses cheveux mouillés ondulaient jusqu’à ses épaules. Elle portait une ceinture noire autour de la taille (très sexy, il fallait bien l’avouer).
    
    Je lui fis la bise. Ses joues étaient fraîches et douces. Lorsque Nivea lui fit également la bise, les lèvres de Nadia restèrent un peu plus longtemps. Elle me jeta un regard bizarre.
    
    Haussant les épaules, je lançai :
    
    — Je voudrais savoir pourquoi tu m’as raconté ça, tout à l’heure…
    — Bof, comme ça, pour te… (elle jeta un œil à Nivea en souriant)… pour te mettre en appétit !
    — Charmant, grommelai-je.
    
    Il faisait frais dans le restaurant, c’était une bénédiction. Nadia se dirigea immédiatement vers les caisses. Était-ce moi, ou bien elle tortillait ses fesses en marchant ? Non, ça devait venir d’elle… mais elle avait de belles fesses…
    
    — Arrête de mater son cul ! me lança Nivea tout en m’envoyant son coude dans les côtes.
    — Bah quoi, toi t’as pas dû te gêner pour le bouffer !
    — J’avoue que…
    — Pfff !
    
    Elle éclata de rire et m’embrassa.
    
    — Arrête de te prendre la tête, je te connaissais même pas à cette époque…
    — N’empêche, je suis jaloux.
    — Nan, sinon t’aurais pas accepté qu’elle vienne avec nous.
    
    Sur le coup, elle avait raison.
    
    — Mouais…
    
    Elle choisit une table et s’assit. Je vins m’installer en face d’elle.
    
    — Bon, tu vas pas nous faire la ...
    ... gueule toute la soirée !
    — Mais je fais pas la gueule !
    
    Je regardais Nadia qui commandait au comptoir. Et sa paire de fesses scandaleusement rebondies.
    
    — Arrête de la mater !
    
    Je détournai le regard.
    
    — T’es attiré par son cul comme un aimant ma parole !
    
    Elle resta silencieuse quelques secondes.
    
    — Je croyais que tu pouvais pas la blairer…
    — C’est vrai.
    — Pourtant tu te prives pas pour la mater…
    — Tant que je touche pas, moi…
    
    Nivea éclata de rire, me révélant son sourire d’un blanc éclatant et parfait.
    
    — Je sens que tu vas me rabâcher ça pendant des années et des années !
    
    Elle se pencha par dessus la table et vint me pincer la joue d’un air taquin.
    
    — Allez Joe, quoi ! Respire !
    
    Nadia revenait, tenant un plateau qu’elle déposa sur notre table. Je pris une glace au chocolat et en pris une cuillerée. Délicieuse.
    
    — Bah je vois que l’ambiance est plombée… fit Nadia en s’asseyant à côté de Nivea.
    — Non, viens là plutôt, dis-je en tapotant le siège à côté du mien.
    — Quoi ? Ah ok t’as pas confiance en moi !
    — Non, pas vraiment, répliquai-je du tac au tac.
    — Hé mais je vais rien lui faire à ta meuf, t’inquiète, Joe. Enfin, rien lui refaire, plutôt…
    — Bon ça va, jette pas d’huile sur le feu, Nadia ! s’exclama Nivea. Tachons de passer une bonne soirée.
    — Ouais, c’est ça, fis-je d’un air maussade.
    
    Les filles dégustèrent leur glaces sans un mot. Malgré moi je ne pouvais quitter les lèvres pulpeuses de Nadia qui s’ouvraient, se refermaient… ...
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