Un été caniculaire 1 - Histoires de Sexe

Un été caniculaire 1

... glacière. Le contact de ses petits seins pressés contre ma poitrine était émoustillant.

Je passai ma main dans son dos tout luisant de sueur.

— Je n’arrive pas à me rassasier de ton corps, ma belle. Tu me rends dingue.

Elle m’embrassa avidement, passant sa langue sur mes lèvres.

— Toi aussi Joe, tu me fais perdre de la tête !
— C’est ça, moque toi…

Lorsqu’elle se rallongea, je laissai ma main courir le long de son ventre, entre ses cuisses, sur sa poitrine.

— C’est à quelle heure le McDo ?
— Dix neuf heures, me répondit-elle, en frémissant lorsque mes doigts jouèrent avec les pointes de ses seins.
— Cela ne m’enchante pas trop de voir l’autre salope.
— Mais si, qu’est ce que tu racontes, elle est sympa Nadia…
— Vite fait, ouais. Elle va encore nous raconter ses histoires de cul, et je crois qu’on a déjà bien assez à faire avec les nôtres.
— Je suis sûre qu’elle t’excite un peu.
— Pas un chouilla. Il n’y a que toi qui m’excite.

Je me penchai sur elle et l’embrassai dans le cou.

— Toi et tes gouinages dans la salle de bains…

Un léger sourire se dessina sur ses lèvres.

— Tu vois que ça t’excite !

Elle prit mon sexe entre ses doigts.

— T’as encore faim ? lui demandai-je.

Elle hocha la tête.

— Soif surtout… Il va avec ce jean ce haut-là?
— Pfff… J’en sais rien !
— T’as pas envie que ta meuf soit bien habillée ? me demanda t-elle.
— Je la préfère déshabillée…

Elle secoua la tête d’un air navré.

— Désespérant.

Elle ...

... prit un haut noir dans sa commode et se tourna vers moi. Elle s’était douchée, parfumée, et portait pour l’instant seulement une culotte de satin noir. Rien que de la voir comme ça, j’avais encore envie d’elle.

— Allez Joe, lève ton cul de ce lit et vient m’aider à m’habiller !
— Si je me lève, je te saute dessus, à toi de voir, répliquai-je.
— Nan bah reste couché alors.

Je m’étirai sur la couette. Moi je m’étais vêtu depuis bien longtemps : bermuda et t-shirt ample. Mais madame n’était pas aussi rapide à la détente.

— Nivea on va pas y passer la nuit !
— Celui-là ?

Elle me montra un petit débardeur blanc.

— Ouais, parfait ! fis-je en sortant du lit. Allez, dépêche-toi, qu’on soit rentrés plus vite, pour que je puisse te manger toute crue.

Elle enfila le haut.

— Hé attends deux secondes… murmurai-je.

Je glissai ma main sous son haut et le relevai. Elle ne portait pas de soutien-gorge, par cette chaleur : Ses petits seins pointaient insolemment sous le tissu. Ma bouche se posa sur un téton et le suçota doucement.

— Ohh… Joe, on va être en retard !

Elle rajusta son haut et enfila son jean, le faisant lentement glisser le long de ses hanches, avec un regard brûlant.

— Tu me cherches là !
— Mais non ! Tu vois du cul dans tout ce que je fais…

Je l’attrapai par la taille et l’embrassai dans le cou.

— Joe…
— Bah, c’est bon, fis-je en m’éloignant.

Le McDo n’était pas bondé par cette chaleur, c’était compréhensible. Quelques personnes ...