1. Un été caniculaire 1


    Datte: 14/04/2018, Catégories: fh, ff, ffh, fbi, copains, cinéma, Oral Auteur: Dr lamb, Source: Revebebe

    ... doucement, en salivant beaucoup.
    
    — Hum… Oh…
    
    C’était un goût délicieux dans ma bouche, qui me faisait chavirer. Mon sexe se dressait comme un roc dans mon caleçon. Je passai à l’autre sein, tout en traçant sur sa poitrine un sillon humide du bout de la langue.
    
    — Tu crois qu’on sera… dans la même classe, à la rentrée ? haleta t-elle.
    — Tu veux pas te préoccuper de ça le moment venu ? demandai-je avec agacement, avant de me mettre à couvrir de baisers ses seins fermes.
    
    Elle agrippa ma tête entre ses mains, passant ses doigts dans mes cheveux. De ma main libre, je caressai son ventre, sa taille, ses bras, déposant de petits bisous dans son cou, savourant son souffle chaud contre sa nuque.
    
    Les yeux mi-clos, calée dans son oreiller, elle me regarda me délecter de son corps, de sa chaleur, de son désir. Ma langue vint chatouiller son nombril, puis remonta le long de son ventre et se posa sur un téton, couleur crème et érigé, délicieux.
    
    — Ohhh…
    
    Je remontai pour l’embrasser. Ses lèvres étaient délicieuses, fondantes comme des chamalow. Sa langue vint chatouiller la mienne, me procurant des frissons.
    
    — Joe ?
    — Oui bébé ?
    
    Je déposai un baiser au coin de ses lèvres.
    
    — Tu veux pas me masser les pieds ?
    
    Son regard de petite coquine aurait eu raison des plus gros cœurs de pierre.
    
    — Mais avec joie.
    
    Je descendis donc le long de son corps, l’embrassant ça et là. Elle avait de belles jambes, pas vraiment longues mais joliment faites, avec de belles ...
    ... cuisses musclées, des mollets fins, et des adorables petits petons.
    
    Mes mains s’emparèrent d’un de ses pieds, le massant doucement, glissant mes doigts entre ses orteils aux ongles coupés ras. Sa peau était très douce. Je saisis un glaçon dans la glacière, et le fit glisser le long de ses pieds, lui arrachant moult frémissements.
    
    — Ohhh…c’est gelé !
    
    Je le glissai entre ses doigts de pieds, puis lui chatouillai la plante avec de petits mouvements circulaires. Elle essaya de se dérober, mais je tenais fermement sa jambe.
    
    — Ahh… Joe, ça chatouille !
    
    Lorsque le glaçon fut presque liquide, je le posai délicatement dans le creux de son nombril, avant d’en prendre un autre et cette fois, de lui chatouiller doucement le bout des seins. Elle s’arqua, tremblotante dans mes bras. Pour l’apaiser, j’accompagnai la caresse gelée d’un petit coup de langue sur ses mamelons dressés.
    
    — Oui… oh…
    
    Ses gémissements me rendaient fou. Elle avait une très sensuelle façon de manifester son bonheur.
    
    Une fois le glaçon disparu, je redescendis le long de son corps, et plaçai ma tête entre ses cuisses, que je soulevai.
    
    Tout en posant un doigt sur sa culotte et en commençant à la caresser lentement, j’embrassai ses genoux, le creux de ses cuisses, son bassin.
    
    — Joe… vas-y Joe…
    
    Ignorant sa demande, je posai vicieusement ma langue sur le fin tissu de sa culotte, et commençai à la lécher mais à travers le dernier rempart de son intimité.
    
    — Oh…
    
    Sa culotte fut vite humidifiée ...
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