Un été caniculaire 1
Datte: 14/04/2018,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
fbi,
copains,
cinéma,
Oral
Auteur: Dr lamb, Source: Revebebe
Cet été fut caniculaire: les records de chaleur furent pulvérisés, battants ceux de 1947. Le soleil tapait dès huit heures du matin. Le bitume était brûlant; les rues désertes. Les chiffres de vente des boissons furent astronomiques. La chaleur fit des victimes, hélas, parmi les personnes âgées et les jeunes enfants.
Dans mon quartier, la chaleur était insoutenable. Je carburais à trois-quatre douches par jour, et malgré cela je suais des litres et des litres. Les gosses avaient abandonné la cité. Rares étaient ceux qui sortaient.
Je passais ma journée chez moi, avec ma copine, qui heureusement n’était pas partie en vacances. Mes parents, eux, étaient au Québec, j’espérais qu’ils ne cuisaient pas comme ici.
Cela faisait trois mois que je sortais avec Nivea. C’était une petite noire de dix neuf ans, que j’avais rencontré à la fin de l’année scolaire. Lors de l’épreuve du BEP, nous fûmes dans la même salle. Oh ! je l’avais bien remarquée auparavant, dans les couloirs du lycée, mais sans vraiment faire attention à elle.
Lorsque je reposai mon stylo, à peu près content de moi, et attendant l’heure réglementaire pour rendre ma copie, je remarquai ses beaux cheveux bruns, lisses; la fine grâce de ses épaules, les courbes délicates de son corps, son beau visage aux traits savamment dessinés, au petit nez absolument craquant.
Nous rendîmes notre copie en même temps, et dans le couloir nous échangeâmes quelques mots. Elle était très agréable à parler, rigolote, ...
... intelligente. Nos numéros furent échangés et on se revit peu de temps après : lors de l’affichage des résultats.
— Ouais! je l’ai eu, Joe !
Elle bondit dans mes bras. Un peu troublé, je la serrai contre moi, ses petits seins fermes venant s’écraser contre mon torse.
J’obtins mon BEP avec mention.
Pour fêter ça, Nivea et moi allâmes dîner dans un petit restau de quartier italien, très sympa. Ce soir-là, avant de nous quitter, je la regardai longuement, savourant sa beauté. Nos lèvres s’unirent pour un doux baiser, très tendre, un baiser de roman d’amour. Puis nous sortîmes ensemble pendant toutes les vacances d’été.
— Tu… tu sais quoi ?
— Uhmmf… grognais-je en libérant son mamelon de mes lèvres.
— Je crois que j’ai jamais autant kiffé : me faire lécher les seins comme ça.
Sans un mot, je passai délicatement ma langue sur son petit téton dressé, la faisant frissonner. Comme tous les jours, il faisait une chaleur écrasante: par la fenêtre ouverte, nous entendions une bande de gosses qui beuglaient de fenêtres en fenêtres. Le ventilateur, posé sur la petite table de nuit, tournait en rotation à plein régime, tandis qu’une petite glacière attendait patiemment, au pied de mon lit.
J’étais juste vêtu d’un caleçon; Nivea, elle, ne portait plus qu’une petite culotte blanche. La sueur perlait magnifiquement sur son somptueux corps d’ébène.
— Heureux de l’entendre, fis-je.
— L’autre sein, tète moi l’autre sein.
Je posai les lèvres sur son téton et le suçotai tout ...