Le facteur est passé (3) - Histoires de Sexe

Le facteur est passé (3)

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— Hmm c’est trop bon maître, baise-moi... Fais-moi jouir s’il te plaît... fit-elle en me suppliant.

Je répondis donc à son désir et je commençai à accélérer au fond de son antre chaud et profond qui avalait aisément mes 19 centimètres. Ma queue lui labourait littéralement l’intérieur à grands coups de reins tandis que mes mains étaient accrochées à son bassin afin d’accroître la force de pénétration ainsi que son statut de soumise. Nathalie ne tarda pas à jouir rapidement avec ce rythme effréné et ses cuisses furent complètement inondées suite à son orgasme.

— Donc tu es une femme fontaine et tu ne m’as rien dit ?

— Je viens juste de le découvrir en même temps que toi. Punaise, c’était bon, il faudra recommencer encore, dit-elle en enlevant son masque. Tu peux m’enlever les menottes.

Ma gifle atteignit alors sa joue et des larmes vinrent couler immédiatement sur son beau visage défiguré par l’effort.

— Qui t’a dit qu’on a fini salope ? Sûrement pas moi qui n’ai pas joui, alors on va finir ce qu’on a commencé.

— Bien maître...

— Tu peux enlever le masque, car je veux voir tes larmes pendant que je vais te labourer le cul, tu n’auras que ce que tu mérites.

— Non pitié, vous aviez promis d’y aller doucement.

— C’était avant ta rébellion, désolé, mais tu l’as cherché.

Je ...

... lui pris alors les cuisses et la forçai à se mettre à quatre pattes, le cul cambré laissant voir le plug inséré dans son cul. Je lui retirai sans douceur et sans lubrifiant, j’insérai ma queue au fond de son trou sans aucune précaution pour elle. Elle cria alors de douleur, mais la dilatation avait déjà fait effet et elle n’allait pas tarder à avoir un second orgasme. Je lui fessai alors son cul qui m’excitait tant, pendant que je la prenais violemment sur son lit, lui arrachant des cris de plaisir.

— Anh putain, oui baise-moi maître !!! J’ai eu tort d’avoir peur, c’est tellement bon, baise-moi encore plus fort !!!

— Tu vas voir alors salope !!!

Et sans prévention, je me retirai et lui enfila ma main dans son cul, qui résista au début avant de céder face à la pression. Je fourrai alors ma queue au fond de sa chatte toujours trempée et j’accélérai les mouvements en même temps que ma main nichée au fond de son cul. Je fus bientôt au bord de la jouissance et ma queue fit alors jaillir un torrent de sperme au fond de son vagin, la remplissant entièrement. Elle venait de succomber elle aussi à un second orgasme grâce au fist anal que je lui avais prodigué, ce qui la fît s’écrouler sur le lit. Épuisés, nous nous endormîmes dans les bras de l’autre. Toutefois, la soirée n’était pas encore terminée...