Le facteur est passé (3) - Histoires de Sexe

Le facteur est passé (3)

Cette fois-ci, on retourne à la réalité avec Nathalie, la plus sulfureuse femme qu’il m’a été donnée de rencontrer... Là encore, c’est une histoire vraie, mais bien plus romancée et érotique que n’a été cette expérience, par exemple le passage sur les sex-toys n’est pas réel, mais j’ai trouvé ça plus excitant de rajouter ce passage ainsi que d’autres. J’espère que cela ne vous gênera pas lors de cette lecture que je vous souhaite agréable et excitante !

Même si j’ai fortement apprécié mon escapade sexuelle avec Karine la veille, je ne pensais aujourd’hui qu’à retrouver Nathalie pour mon dernier jour de formation afin de pouvoir profiter d’elle, ne pensant pas pouvoir recommencer de sitôt après cette journée (je me trompais alors complètement, mais ce sera une autre histoire...). Ma routine du matin était déjà bien installée après ces deux jours de boulot et j’arrivai au centre de tri à 7h pétante, étant de nature très ponctuel. Comme chaque matin, je saluai chaque collègue avant de filer trier le courrier pour gagner du temps avec mon binôme. En parlant de lui, je ne savais pas du tout si j’allais rester avec Karine ou Nathalie, ayant effectué un jour avec chacune d’entre elles. J’avais tout de même une préférence pour Nathalie, la cause en était son corps tout simplement sublime et promesse de plaisirs intenses et variés...

Mes prières furent alors exaucées lorsque j’aperçus Nathalie passant la porte, café à la main et fesses roulant bien comme il faut pour m’exciter ...

... légèrement en ce début de journée.

— Salut Antoine ! Alors cette journée avec Karine c’était comment ?

— Salut Nathalie, super elle m’a bien expliqué comment faire, surtout pour les recommandés.

— D’accord parfait. On va continuer pareil aujourd’hui, comme ça, tu seras bien rodé pour demain quand tu seras seul.

— ça marche, tu veux que je fasse les lettres ou les colis aujourd’hui ?

— On va le faire ensemble, ça ira plus vite !

On commença donc le tri des lettres et je ne dus pas attendre longtemps avant qu’elle ne commence son manège pour me chauffer. En effet, elle devait trouver ça particulièrement excitant de prendre le moindre prétexte pour me montrer son décolleté ou pour frotter ses seins contre moi. Je n’en perdais évidemment pas une miette, m’arrangeant aussi pour passer ma main discrètement sur ses cuisses et ses fesses quand personne ne pouvait nous voir. Cette situation dura pendant 30 minutes, le temps de tout trier. On passa ensuite aux colis et là encore, le manège se répéta, en accentuant le rythme de nos mains et seins baladeurs, prenant encore plus le risque de se faire voir par les collègues. Heureusement, ceux-ci étaient trop occupés dans leurs tris pour remarquer nos silencieux échanges.

— Pfiou enfin fini, je prends un café et on part ça te va ? fit Nathalie.

— Oui pas de problème, lui réponds-je.

Après avoir avalé rapidement son café, je pris les clés et nous partîmes en direction du lieu de la tournée. Là encore, son petit ...