Le facteur est passé (3) - Histoires de Sexe

Le facteur est passé (3)

... cinéma reprit comme il y a deux jours. Sa main se fit cette fois beaucoup plus entreprenante, allant même caresser ma bosse sur ma braguette qui était déjà bien assez grosse, alors que nous venions à peine de partir depuis 5 minutes. Aucun d’entre nous ne parlait, laissant place à un silence chargé de tensions sexuelles. Bien entendu, cette situation s’arrêtait souvent au rythme des boîtes aux lettres et aux livraisons de colis, ce qui permettait de baisser la tension quelques minutes. Toutefois, dès que Nathalie en avait l’occasion, elle s’empressait de s’en emparer afin de m’exciter encore plus. Cela dura bien 3h avant que l’on n’échange de place, lui laissant ma place de conducteur.

A ce moment-là, je choisis d’inverser les rôles et c’est moi qui utilisai ma main afin de la faire parcourir sur ses cuisses dénudées, à peine cachées par son minishort. Je pris même l’initiative de m’aventurer vers son jardin secret, imitant ma collègue comme elle l’avait fait pendant ces 3 longues heures de chauffe. Je voyais bien qu’elle commençait aussi à succomber à mes lentes caresses. Je m’arrêtai donc plusieurs minutes avant de recommencer mes petites affaires, voyant bien qu’elle devenait de plus en plus frustrée de ne pas avoir d’orgasmes. Son short était en effet chaud et très humide au toucher. Heureusement, le rythme de postage était intense à ce moment-là de la tournée, lui permettant de retrouver son calme. Elle rompit alors le silence pendant cette pause :

— Bon, ...

... on s’amuse bien depuis plusieurs heures maintenant, mais on passe quand aux choses sérieuses ? Désolé d’être aussi cash, mais j’ai envie de ta queue depuis que je l’ai eue dans la bouche. Je la veux en moi dans ma chatte pour commencer... dit-elle avec une voix presque suppliante pour que je la prenne.

— Hmm tu n’aimes pas cette situation ? Tu n’aimes pas patienter afin de mieux profiter de notre futur ébat ?

— En temps normal oui, mais ça fait plusieurs heures qu’on se chauffe donc j’en ai envie maintenant.

— Hé bien, tu vas attendre encore un peu. C’est moi qui te dirai quand je te prendrai. C’est ce que tu veux non ?

— Oui je ne veux que ça... minauda-t-elle.

— Bien, donc tu vas attendre la fin de la tournée, ensuite on ira chez toi, tes enfants ne sont pas là ?

— Non, ils sont chez leur père.

— Parfait. Attends-toi à souffrir et à aimer ça, car notre plaisir va durer longtemps...

— Hmm j’en salive déjà d’avance, petit coquin...

Nathalie se calma donc et nous poursuivîmes notre tournée une fois encore dans le silence. Tout en postant les lettres, je pensais déjà à ce que j’allais lui faire. Je rêvais de son cul depuis maintenant deux jours et il était garanti qu’il allait connaître ma queue avant la fin de la journée... La tournée prit fin à 14h et ce ne fut pas long de tout ranger, étant tous les deux pressés profiter de l’un et de l’autre.

— Pars devant, il faut que je passe à mon appart récupérer quelques trucs. C’est quoi ton adresse ...