Le facteur est passé (3) - Histoires de Sexe

Le facteur est passé (3)

... ressortis de sa bouche afin de lui laisser le temps de respirer, avant de passer à un autre de ses orifices...

— Tends tes mains vers moi maintenant.

— Tenez maître, elles sont à vous.

Je lui pris les mains ainsi que les menottes et je les fixai à ses poignets, lui empêchant maintenant de bouger librement en plus de ne plus voir.

— Es-tu vierge du cul esclave ?

— Oui maître, je le suis et j’aimerais le rester, cela ne m’attire guère.

— Hé bien maintenant que tu es attachée et à moi, tu n’as plus ton mot à dire... lui répondis-je en dégustant la situation.

— Pitié maître ne faites pas ça, tout, mais pas ça... dit-elle pendant que des larmes commençaient à couler de ses joues.

— Chut chut chut tu ne vas pas te mettre à pleurer non ? Désolé, mais je vais devoir te punir. Mais ne t’en fais pas, après tu vas aimer ça, car je vais prendre ton pucelage bien comme il faut.

Je partis donc en direction de mon sac et pris le fouet ainsi que le lubrifiant et le plug anal, histoire de la dilater avant mon passage à l’acte. Je fis d’abord tomber son string, me laissant apercevoir sa chatte ainsi que son petit trou serré complètement épilé. Je fis ensuite tomber une noisette de lubrifiant sur son trou ainsi que sur le plug et sans avertissement, je rentrai le plug au plus profond de son cul. Cela lui arracha bien sûr un cri de douleur mêlé aussi à un peu de plaisirs.

— Rassure-toi, je vais te laisser t’habituer à la sensation. Je vais même te récompenser ...

... tout de suite pour ton courage.

— Merci maître, vous êtes trop bon envers moi qui ne suis qu’une salope soumise et capricieuse...

— Mais avant, je dois te punir pour avoir protesté, es-tu prête ?

— Oui, je le suis maître, veuillez me pardonner pour mes supplications.

Je levai donc le fouet et je lui frappai les fesses et les seins maintenant dénudés pendant 1 minute sans interruption et n’y allant pas de mainmorte. A la fin, son corps n’était plus que griffures et rougeurs, mais cela apportait une certaine touche de beauté et d’excitation à la situation. D’ailleurs, Nathalie était désormais complètement trempée entre les cuisses, signe que la punition lui avait donné du plaisir malgré la douleur.

— Bien, j’ai promis de te récompenser et en plus, tu as été forte lors de ce moment. Je vais donc y aller en douceur afin que tu récupères pour la suite. Installe-toi sur le dos, et bras derrière la tête.

Mon amante est soumise, fit exactement ce que je lui ordonnai et fût prête à m’accueillir en elle, chose qu’elle désirait ardemment depuis notre premier ébat en nature. Mon pénis alla donc vers son petit abricot ruisselant et chaud et je commençai d’abord par frotter le gland contre ses grandes lèvres, ce qui l’excita encore plus. Toutefois, je voyais bien qu’elle en réclamait plus, alors sans prévenir, j’entrai en elle sans difficulté tellement elle était lubrifiée par sa mouille. La surprise ne la prit pas de court et elle gémit tout de suite après la pénétration ...