1. Uchronie soit qui mal y pense ou l'effondrement de l'humanité [SF] (5)


    Datte: 05/08/2020, Catégories: Divers, Auteur: Doogy Woogy, Source: Xstory

    ... parvenait pas à trouver un appui. Sophie, les yeux révulsés d’extase, décida d’aider son compagnon à quatre pattes. Elle glissa au sol, ferma le couvercle des toilettes et s’y accouda. Elle tendit les fesses ; l’animal ne fut pas long à répondre à l’invitation.
    
    Après plusieurs pointages pour trouver l’entrée, la queue d’Irkoutsk s’engouffra dans le vagin détrempé. Le membre étant en adéquation avec la taille du clébard, Sophie accompagna la pénétration d’une onomatopée salace pour en atténuer la violence. Mais son envie prévalait, et en fin de compte son anatomie s’adapta à l’invasion du gourdin. Elle subit d’abord le coït bestial puis, trouvant le bon rythme, l’accompagna.
    
    Dans la chambre, Emma se réveilla, dégoulinante de sueur et la bouche pâteuse. Il lui fallut des efforts de concentration pour comprendre qu’elle avait contracté à son tour cette fièvre qui avait touché Sophie. Elle réalisa à cet instant que sa compagne n’était plus à côté d’elle. S’était-elle levée pour aller boire ? N’avait-elle plus sommeil ? Emma regarda l’heure sur le cadran d’affichage de son réveille-matin : il était trois heures. Elle voulu se lever mais son corps manifesta une volonté contraire. Pourtant la soif l’emporta ; après quelques minutes de répit où elle resta vautrée dans son lit, elle parvint à se lever. Emmitouflée dans son peignoir, elle se dirigea tel un robot vers la cuisine.
    
    Elle but. Beaucoup. Malgré son esprit embrumé, elle ne pouvait réfuter qu’elle souffrait des ...
    ... mêmes symptômes que Sophie. Elle but à nouveau, et bien que souhaitant retourner au plus vite dans son lit, elle chercha sa compagne. Elle craignait de la retrouver gisant sur le sol quelque part dans la maison. Hors de question de se recoucher sans s’assurer que son état s’améliorait, qu’elle s’était levée en meilleure condition. Emma avançait avec difficulté, perturbée par une furieuse envie de se tripoter, d’enfoncer ses doigts dans son vagin. Son sexe semblait aussi ardent qu’une coulée de lave. Elle devrait peut-être aller pisser : ça la soulagerait.
    
    Sophie sentait tout le poids du chien sur son dos. Les seins écrasés contre le couvercle des toilettes en amortissaient l’impact, mais leur pointe frottait contre le support, attisant son excitation. Elle gémissait en continu tandis qu’un râle accueillait chaque coup de reins. Sophie transpirait à nouveau à grosses gouttes, mais cette fois la cause de l’excès de sueur n’était pas la fièvre. Ses genoux devenant douloureux, elle regrettait de n’avoir pas pris le temps de se déplacer jusqu’au canapé où elle aurait pu s’agenouiller sur un coussin. Irkoutsk ne montrait aucun signe de fatigue ou de lassitude, et la fin de l’accouplement ne s’esquissait pas. Ses nymphes se dilatèrent ; la queue rouge de l’animal enflait et Sophie se demanda jusqu’à quel point elle supporterait cet écartèlement. Elle n’avait pourtant aucune envie que cette copulation cesse. Comme si elle avait avalé un aphrodisiaque en trop grande quantité, elle ...
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