1. Révélations


    Datte: 01/08/2020, Catégories: fh, ff, fsoumise, hdomine, soubrette, noculotte, intermast, pénétratio, fsodo, fouetfesse, journal, Auteur: ChrisetPit, Source: Revebebe

    ... progressivement, le sphincter se dilate et, brusquement, le gland passe. J’ai mal. Je crie « stop ». Hélène maintient l’engin et me caresse gentiment les fesses. La douleur se calme. Je lui dis de continuer lentement. Alors, elle enfonce doucement : cette sensation d’être remplie, comblée, c’est bon ; étrange, inconnu, mais tellement bon !
    
    D’une voix dolente, je lui demande :
    
    — Hélène, si tu veux me rendre heureuse, fais-le aller. Rentre et sors, tout doucement.
    
    Elle s’est assise à côté de moi. D’une main, elle tient le gode qu’elle dirige très tendrement, de l’autre, elle me caresse les dos, les fesses puis, passant entre mes jambes, elle trouve mon clitoris. Des vagues de bonheur m’emportent. Je ne sais plus vraiment ce qui s’est passé… Quand je reprends mes esprits, je suis sur le dos, couchée sur ses genoux, la tête dans son giron et elle continue à faire entrer et sortir le gode en me masturbant avec son poignet tout en me caressant les seins avec l’autre main.
    
    Voyant que je suis consciente, elle s’arrête et m’explique que j’ai « crié » quatre fois, que je me suis débattue mais qu’elle a continué. J’en conclus que j’ai eu quatre orgasmes violents. J’attire sa tête à moi et je l’embrasse pour tout le bonheur qu’elle m’a donné, puis je retire le gode. Je suis tranquille ; s’il veut me pénétrer par là, je suis prête.
    
    Je vais maintenant m’occuper d’Hélène.
    
    — Merci Hélène. Tu m’as rendue très heureuse et tu as été bien obéissante. Tu vas avoir ta récompense… ...
    ... Allonge-toi et ferme les yeux.
    
    Je la caresse, sa peau est soyeuse, c’est un vrai plaisir ! Ses seins m’attirent, ils sont toujours dressés malgré la position. Je les effleure du bout des doigts ; je ne pensais pas cela possible, ils gonflent encore ; ses tétons sont d’une longueur exceptionnelle. Quand j’en prends un dans la bouche, elle gémit ; quand je fais rouler l’autre entre mes doigts, elle se tortille de plaisir avant de se relâcher dans un cri.
    
    J’ai envie de la câliner ; mes mains descendent sur son ventre puis mes doigts se perdent dans sa toison. Les poils, presque invisibles, sont très longs et chatouillent ma paume. L’impression est tellement plaisante que je vais y poser la joue. Couchée à côté d’elle, je sens maintenant son odeur de femme ; elle est beaucoup moins fortement épicée que celle de Cléa mais elle est quand même pénétrante et suave.
    
    Ma main se faufile entre ses cuisses qu’elle écarte spontanément. Je sens son ventre se crisper, elle espère… je ne vais pas la décevoir. Lorsque je parviens à son intimité, ses lèvres sont ouvertes et ses nymphes turgescentes sont dégoulinantes de cyprine. Mes caresses, pourtant très légères, la font bondir et râler. Bien qu’alourdi par le poids de ma tête, son bassin se balance, ondule et se projette au-devant de ma main. Alors, je réponds à son désir ; je presse son clitoris, je le fais rouler, je le pince doucement : elle hurle ! Ensuite, je me place entre ses jambes et je lape cette liqueur qui coule d’elle. ...
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