Révélations - Histoires de Sexe

Révélations

... de lotion protectrice contre le soleil.
— Oui Madame… je le ferai.

Je descends un petit peu après 14 h 30. Dans mon sac, j’ai pris le godemiché, des préservatifs, la vaseline ainsi que le petit plug. Hélène m’attend dans le hall, nue, ses mains cachant pudiquement ses appas.

— Allons Hélène, je t’ai déjà vue. C’est inutile… Nous allons passer par la terrasse pour prendre un matelas de repos.

Nous voici en route sous le soleil ; elle, la peau luisante de sa lotion solaire, un matelas roulé sous le bras, extrêmement excitante avec ses seins qui frémissent à chaque pas, les pointes tendues ; et moi, habillée de ma petite robe d’été fleurie, sous mon grand chapeau de paille.

— Aimes-tu te promener comme ça ?
— Je ne sais pas, Madame… J’aime bien le soleil partout, mais le vent, ça fait tout drôle là… et elle me montre son entrejambe.
— Tu vas voir. Puisque tu ne mets plus de culotte, tu vas t’y habituer. C’est très agréable.
— Si Madame le dit…

Nous arrivons au belvédère et, cette fois-ci, nous montons sur la terrasse. La vue est limitée par les arbres mais on a l’impression d’être très loin, complètement isolées de la vie courante, libres !

Hélène déroule le matelas et je retire ma robe. Nous nous regardons, nues l’une comme l’autre. J’ouvre mon sac et en sors les différents objets que j’ai apportés. Hélène est intriguée mais ne dit rien. Je mets un préservatif autour du godemiché et l’enduis de vaseline.

— Hélène, tu vas m’aider. Ce soir, je vais ...

... recevoir un monsieur qui va certainement vouloir me sodomiser.

Elle est ahurie, elle n’imaginait pas que je puisse accepter ce genre de pratique…

— Je vais me mettre à quatre pattes et tu vas retirer doucement ce que j’ai dans le derrière. Puis, tu vas rentrer ça à la place.

Et je lui montre le gode protégé et lubrifié.

Je me mets en position. Je sens qu’elle touche la partie externe du plug, elle n’ose pas trop l’attraper. Ça résonne au fond de moi-même, ce n’est pas désagréable. Elle arrive enfin à saisir fermement le disque externe et commence à tirer sans trop de conviction. Ses hésitations sont autant d’excitations pour moi. Ces sensations me sont inconnues mais elles éclatent en moi comme des embrasements. Je commence à haleter et à gémir doucement. Ça inquiète Hélène :

— Je fais mal à Madame ?
— Mais non, idiote ! Au contraire, c’est très bon… Allez, sors-le !

Elle tire alors d’un mouvement continu. Je sens le passage de tous les anneaux qui le composent et je me sens soudain vide, comme amputée de quelque chose. Détendu, mon sphincter reste ouvert, c’est une impression bizarre.

— Maintenant, tu rentres l’autre truc.

De peur de devoir donner de longues explications, je n’ose pas utiliser le bon vocabulaire.

— Madame est sûre ? C’est gros !
— Mais oui ! Et n’hésite pas à forcer un peu. N’arrête que si je te le demande.

Je la sens qui appuie la tête du pénis artificiel contre mon anneau. Mmmm, c’est trop gros, ça ne passera jamais ! Mais, ...