Nicaline ou l'histoire d'une jeune femme de notre temps
Datte: 01/08/2020,
Catégories:
fh,
amour,
volupté,
intermast,
Oral
pénétratio,
mélo,
Auteur: Nicolas, Source: Revebebe
... chose. Elle lui posa un doigt sur la bouche.
— Chut, ne dis rien. Plus tard. Prenons le temps.
— Tu as raison dit-il. Il l’embrassa sur le front, à la limite des cheveux.
Ils s’installèrent dans la voiture, puis quittèrent le parking du restaurant. Nicolas conduisait lentement. La lueur des phares se reflétait faiblement dans l’habitacle, il se tournait fréquemment vers elle.
— Ne nous met pas dans le fossé, dit-elle en souriant et en se tournant vers lui. Je croirais que tu l’as fait exprès pour ne pas me ramener.
Elle pivota sur son siège, ramenant une jambe sous elle, pour mieux le regarder. Elle posa sa main sur la cuisse de Nicolas.
Elle sentit sous ses doigts les muscles tressaillir. Elle ne bougea plus. Sa tête se posa sur l’épaule de son compagnon. Elle abandonnait la lutte.
Il gara la voiture devant le portail, la prit dans ses bras et l’embrassa pour la seconde fois de la soirée.
— Tu descends quand tu veux, dit-il, mais n’attends pas que je te chasse.
Elle ne répondit pas, blottie dans ses bras, elle savourait le moment. La chaleur du corps de Nicolas se communiquait à son corps. Elle se sentait bien, très bien. Pourtant elle se dégagea, descendit de la voiture, et au lieu de se diriger vers le portail elle revint vers la porte du conducteur et l’ouvrit.
— Viens, dit-elle en lui tendant la main. Maintenant. Je ne veux pas que tu partes.
Nicolas descendit à son tour, ferma le véhicule. Elle ne l’avait pas lâché. Ils traversèrent le ...
... jardin main dans la main. Elle ouvrit la maison, referma la porte derrière eux. S’appuyant contre le mur, elle lui offrit ses lèvres. Il la prit dans ses bras, la serra contre lui et l’embrassa.
Quelques minutes plus tard elle le reprit par la main, et, sans allumer aucune lampe, le guida jusqu’à sa chambre. Ils n’avaient pas parlé depuis la rue. Ils s’embrassèrent à nouveau ; tendre au début, leur étreinte devenait plus forte. Il avait forcé le barrage des lèvres avec sa langue et fouillait la bouche offerte. Ses mains se promenaient sur le corps d’Aline qui n’opposait aucune résistance. Elle se donnait, se laissait conquérir, elle désirait être vaincue et prise, comme une ville par l’envahisseur. Nicolas réussit à lui enlever son chemisier, puis défit le pantalon. Elle était debout face à lui, son slip et son soutien-gorge de coton blanc faisant deux taches claires dans l’obscurité.
— Déshabille-toi et viens, dit-elle en entrant dans le lit.
Quelques secondes plus tard ils étaient allongés côte à côte. Il tendit le bras à la rencontre de la peau nue de la jeune femme, trouva un bras. Ils s’approchèrent l’un de l’autre. Leurs corps se trouvèrent, lui complètement nu, son sexe dressé, palpitant. Elle encore protégée par ses deux barrières de coton. Elle sentit le membre, qui bientôt la pénétrerai, toucher son ventre. Qu’il lui semblait fort et puissant ! Elle entoura le cou de son compagnon avec ses bras.
— Finis de me déshabiller et caresse-moi, lui chuchota-t-elle ...