1. Nicaline ou l'histoire d'une jeune femme de notre temps


    Datte: 01/08/2020, Catégories: fh, amour, volupté, intermast, Oral pénétratio, mélo, Auteur: Nicolas, Source: Revebebe

    ... à l’oreille.
    
    Avec d’infinies précautions, sans se presser, laissant ses mains errer sur la peau nue de la jeune femme, Nicolas entreprit de faire tomber les deux derniers remparts. Celui du haut lui résista un peu. Ses doigts fébriles ne trouvaient pas les agrafes.
    
    — Eh bien, jeune homme, on manque d’expérience ? lui demanda-t-elle ironique et amusée par la situation.
    
    Elle ne bougea pas d’un pouce, sensible à ces doigts qui courraient dans son dos. Quand ils parvinrent à leur fin elle bascula sur le dos pour offrir ses seins. Il enleva le soutien-gorge, le jeta hors du lit, et ses mains partirent à la découverte de ce corps inconnu. Des épaules il descendit lentement le long des flancs d’Aline, évitant dans un premier temps sa poitrine. Les mains se réunirent sur le ventre puis remontèrent ensemble vers les seins tendus. Elle se cambra pour les offrir encore plus aux caresses. Il prit les deux belles poires dans ses mains qui les flattèrent, les caressèrent, les modelèrent. Les deux aréoles se contractèrent, les mamelons s’érigèrent. Elle avait le souffle de plus en plus court. Les mains abandonnèrent un moment ses seins pour redescendre vers le ventre plat. Elles rencontrèrent la ceinture du slip, s’infiltrèrent dessous. Le bassin de la jeune femme se souleva pour aider le dernier obstacle à tomber. Bientôt elle fut nue.
    
    Aline ne voulait pas être en reste. Sa main gauche sur l’épaule de Nicolas, elle caressait son torse de la main droite. Elle aussi partait à la ...
    ... découverte. Bientôt elle trouva la barre de chair témoignant du désir de son compagnon. Elle referma la main autour, et commença un lent mouvement de va-et-vient. Elle embrassa les lèvres de son ami, et descendit lentement le long du corps musclé. De ses seins puis de la bouche elle caressait l’homme qui partageait sa couche.
    
    Ses lèvres rencontrèrent le sexe tendu. Tout d’abord timide, le baiser se fit petit à petit plus insistant. La langue s’insinua le long du chanfrein, tandis que les mains d’Aline décalottaient le membre tendu. Elle le tenait comme un sucre d’orge de bon format et s’en régalait comme une petite fille le ferait d’une sucrerie. Sa langue agile enveloppait le gland gonflé, sa bouche avide suçait, pompait comme pour en extraire déjà le suc savoureux. Elle alternait les caresses douces avec les agressions de ses dents, mordillant le membre qui en devenait douloureux de désir et de plaisirs inassouvis.
    
    Nicolas la saisit aux aisselles et la remonta vers lui. Il l’embrassa et à nouveau sa langue passa la porte des lèvres et des dents d’Aline. Pendant ce temps de ses mains il repartait à la conquête du corps offert. Les seins, le ventre reçurent des caresses. Puis ce fut le tour du dos, des reins, des fesses. Celles-ci ne s’ouvrirent pas, obligeant Nicolas à remonter aux hanches, et à redescendre le long du ventre jusqu’à la toison de feu. Comme par miracle les longues cuisses s’écartèrent, laissant libre l’accès au sexe humide de désir.
    
    — Comme ton corps ...
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