1. COLLECTION ZONE ROUGE. Mes origines allemandes. Saison II (6/10)


    Datte: 01/08/2020, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... portait pendant tout le temps où nous étions sous sa coupe.
    
    J’ai senti que l’on me bouchonnait avec du foin.
    
    J’ai donc fait sauter les deux agrafes qui tenaient encore.
    
    C’était facile car au fil de la guerre les privations de nourritures conjuguées aux coups que les hommes nous donnaient lors de nos rapports, surtout les officiers, m’avaient fait perdre de nombreux kilos.
    
    Chacune s’est mise à frotter le dos de sa voisine pour commencer, puis sur la poitrine et pour finir sur le ventre.
    
    La caresse au niveau de ma minette par une main baladeuse m’a fait comprendre que la jeune femme qui était dans mon dos ne pouvait être maman car je pense qu’elle aurait évité de me caresser le bas de mon corps bien que dans le noir cela se serait avéré possible.
    
    Dommage qu’il ne fasse pas jour, nos corps traités comme je traitais mon cheval dans le manège où mon père me conduisait avant le grand malheur qui a frappé notre pays.
    
    Même si le foin nous grattait et nous piquait, la fin de nuit que nous avons passée était idyllique après avoir subi les foudres du ciel.
    
    Une voix de femme parlant en allemand nous a réveillés, elle appelait son chien.
    
    Nous l’avons entendu qui répondait au loin à la sollicitation de sa maîtresse.
    
    Elle semblait étonnée qu’il n’arrive pas et que le son de ses aboiements soit toujours constant et semblant venir du même endroit.
    
    Elle est rentée dans la pièce et en est ressortie en repoussant sa porte sans la fermer avec à l’épaule une ...
    ... mitraillette toute neuve.
    
    C’était une femme petite et rondouillarde qui se portait bien malgré les privations que toute l’Allemagne subissait.
    
    Nous-mêmes au début de la guerre avions des repas très bien équilibrés avec des ingrédients de première qualité.
    
    Au fil des mois, le choix entre deux plats principaux avait disparu comme a disparu le cuisinier chef venu d’un des deux plus grands restaurant de Cologne.
    
    Lorsque le manque de combattant, c’est fait sentir, les hommes en noir ont considéré que tous ces postes de planqués, pouvaient être tenus par des femmes.
    
    Chaque fois qu’il faisait un échange de ce type, c’est qu’ils avaient remonté la lignée de ses postulantes sur plusieurs générations et qu’aucune marque étrangère à la race pure n’avait été détectée.
    
    C’est à ce double titre que mon père, comme le cuisinier, se sont retrouvés sur le front de l’Est et que ma mère a été conduite au bordel, le grand orchestre ayant vécu.
    
    La femme est partie dans la direction des aboiements passant d’arbres en arbre, lorsqu’elle a été cachée au détour du chemin, Ingrid entièrement nue s’est précipitée hors de la grange et est entrée dans la pièce laissée ouverte par la femme.
    
    Elle avait ramassé une ficelle pour les bottes de foin.
    
    Nous l’avons suivi sans nous poser de questions, nous avions plus que confiance en elle, sans son secours au bordel et par la suite nous serions déjà mortes.
    
    J’aurais voulu avoir le temps d’admirer ces quatre femmes l’intimité et les seins à ...