1. COLLECTION ZONE ROUGE. Mes origines allemandes. Saison II (6/10)


    Datte: 01/08/2020, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... fait pour nous.
    
    La journée suivante c’est derrière un buisson que nous la passons sans avoir trouvé d’endroit pour nous protéger du froid.
    
    Nous nous placions le plus près l’une de l’autre changeant même celle qui était aux extrémités car les deux du milieu profitaient beaucoup plus de notre chaleur personnelle sauf maman qui était exempte de ces positions extérieures étant encore trop faible.
    
    Un moment je me suis trouvée tout contre Hilde, elle m’a pris la main et elle l’a glissé sous son poncho.
    
    J’ai réussi à reconnaître que c’était elle à son sein que j’avais assez sucé et caressé pour le reconnaître entre mille.
    
    Ce qu’il y a de bien avec nos tenues c’est qu’ils sont sans couture.
    
    J’ai fini par descendre le long de son corps et mettre mes doigts dans sa chatte, comme elle l’avait fait pour moi dans la grange, c’est à ce moment que j’ai senti quelque chose d’insolite.
    
    Une autre main, plutôt d’autres doigts étaient déjà dans sa chatte, celle qui était placée après nous était obligatoirement maman, pendant des heures, évitant de nous endormir par ce froid, nos mains sont restées très proches.
    
    Nous l’avons caressé et fait jouir, j’étais très heureuse, maman semblait revivre et reprenait goût au sexe, surtout avec Hilde, mais plus surprenant, comme la petite était tournée, j’entendais leurs baisés.
    
    Hilde aussi devait avoir ses doigts voire sa main dans sa chatte car par plusieurs fois maman à lâcher des cris de plaisir.
    
    J’étais la plus mal placée ...
    ... à cause du vent froid, sans compter la pluie qui tombait.
    
    Je devais donner le top du changement si j’avais trop froid, maman avait été héroïque avec le camion et les jeunes allemands.
    
    À mon tour, j’ai serré les dents pour éviter qu’elles entendent qu’elles claquaient.
    
    J’ai laissé ces deux femmes avoir une nuit de plaisir dans ces conditions extrêmes, au risque de mourir.
    
    Mais j’avais moi-même un soutient, mon violon, que je serrais sur mon sein.
    
    Je jouais des morceaux du répertoire que dans mes belles années, j’avais appris. Ce sont eux que je jouais dans la salle d’abattage où les jeunes soldats aussi pommés que nous venaient nous choisir.
    
    Je jouais les notes sans les partitions bien sûres, mi sol mi sol la mi sol.
    
    Une nouvelle fois vous n’allez pas me croire, pourtant c’est l'exacte vérité.
    
    Je me suis réveillée, j’étais debout, j’avais sorti mon violon de son coffret et malgré mes doigts gelés, je faisais courir l’archet sur les cordes.
    
    Les sons qui sortaient étaient infâmes pour un mélomane, mais la valse que je jouais a permis à mes compagnes de danser ce qui les a réchauffés, je jouais et les trois femmes arrivaient à valser, c’était irréel.
    
    La nuit avait été longue, mais nous en étions toutes sorties vivantes quand nous repartîmes.
    
    Nous avons cherché un endroit où nous pourrions nous mettre à l’abri des regards et de la pluie qui recommençait à tomber.
    
    Nous nous étions simplement arrêtés pendant mon concert.
    
    Mais surtout il nous ...
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