Toussaint, fête de tous les seins ?
Datte: 31/07/2020,
Catégories:
grp,
uniforme,
campagne,
autostop,
Oral
double,
Partouze / Groupe
confession,
occasion,
Auteur: RobertAnne92, Source: Revebebe
... branle. J’ai une reine sous les yeux. En cinq ans de sexe, je n’ai pas fait ce qu’elle réalise en quelques minutes. Respect, comme on dit maintenant. Ils l’installent, la positionnent. Leurs mains deviennent douces pour la caresser, se glisser entre ses cuisses, palper sa poitrine généreuse, forcer ses lèvres, son sexe, son anus. Ils ne se comportent pas en soudards mais en amants, respectueux de l’équilibre du plaisir. Les jeunes de maintenant devraient prendre exemple et ne pas se comporter en machos ridicules masquant leur impuissance sous la violence et le viol.
La partition est écrite depuis longtemps. Elle s’empale sur l’un, pendant que l’autre l’encule. Une verge envahit sa bouche. La dernière se place dans sa main. Jamais je n’aurais imaginé cela possible. Je parle à l’époque, car maintenant le Net montre des choses improbables. Elle ne rechigne pas à l’ouvrage.
C’est bizarre mais d’un seul coup il fait chaud dans la chambre, très chaud même. Ma robe me gêne. J’abandonne un instant et à regret le spectacle de l’autre côté pour me débarrasser de tout ce qui m’encombre. Robe, pull, slip, soutien-gorge. Tout est à terre. Je reviens avec envie vers le trou de serrure. Non, je n’ai rien raté. Ils sont toujours là. Montagne de corps enchevêtrés. Ils s’activent. Je peux entendre chaque bruit, chaque cri, chaque gémissement. Ma chatte me brûle. Mes seins sont gonflés. Moi aussi j’ai envie. Une main s’occupe de mon clito, la paume frotte mon petit bouton, les doigts ...
... entrent dans ma chatte. De l’autre, je me caresse la poitrine, pressant le sein pour le faire pointer, saillir le téton que je tire. Un dernier coup d’œil dans la pièce. La femme reçoit sur le visage le sperme de celui qu’elle branle. Longs filets blanchâtres qui coulent. Elle utilise le gland de celui qu’elle suce pour les récupérer et les lécher goulûment. Lui aussi crache sa semence mais elle a le temps de diriger les jets dans sa bouche. Elle joue un moment avec sa langue comme réceptacle puis avale la crème avec ostentation. Vraiment une pro de la sucette.
Je suis en feu. Je me branle de plus en plus vite. Je jouis sans interruption.
Merde ! Je perds l’équilibre et pars en avant, contre la porte. Catastrophe. Sans doute mal enclenchée, elle s’ouvre sous ma pression et je me retrouve à plat ventre dans le salon. Imaginez la honte. Bien sûr, quatre visages sont tournés dans ma direction. Je note quand même que les deux qui la prennent en sandwich ne cessent pas leur travail. Un des hommes vient vers moi et m’aide à me relever.
— Ça va ?
C’est encore mon sauveur, décidemment il a une âme de Saint-Bernard ce garçon. Je ne peux que bredouiller :
— Oui, oui.
Il a un petit sourire moqueur au coin des lèvres. Il n’est pas dupe de mon manège. Je veux retourner dans ma chambre, mais il garde ma main dans la sienne et m’entraîne vers le feu.
— Installez-vous là. Il fait bien chaud et vous verrez mieux.
Voilà, c’est dit. Je suis démasquée. Je suis la risée de la ...